Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1990

La chose la plus difficile dans ce monde, c’est d’y vivre.

#1
9.48 (200 votes)

Phoebe : C’est un homme divorcé, Ross tu dois le connaitre ?
Ross : Ce n’est pas un club.
Monica : Tu devrais faire attention s’il est divorcé !
Ross : Les hommes divorcés ne sont pas des monstres mesdames.
Chandler : C’est ce qui aura écrit sur les serviettes de ton club ?

#2
9.39 (299 votes)

Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait !

#3
9.39 (304 votes)

Je préfère mourir debout, que de vivre à genoux !

#4
9.38 (423 votes)

On commence le jeu, les retardataires sont éliminés ! Le premier qui obtient un total de 1000 points gagne un véritable char d’assaut. Sacrés veinards. Tous les jours le classement vous sera communiqué par ce haut parleurs là, et chaque jours la personne qui sera classée dernière devra porter la mention « Âne » sur un carton accroché dans le dos.
Nous on joue le rôle des très très méchants qui aboient sans arrêt et qui donnent des ordres en hurlant, ceux qui ont peur perdent des points. Dans trois cas on peut perdre le total des points acquis : premièrement, tous ceux qui se mettent à pleurer, deuxièmement, tous ceux qui demandent à voir leur maman, et tous ceux qui se plaignent d’avoir faim et qui demandent un goûter : aucun goûter !
Et on a vite fait de perdre des points parce qu’on a faim. Pas plus tard qu’hier, j’ai moi-même perdu 40 points parce que j’ai cassé les pieds à tout le monde pendant une heure pour avoir de la marmelade. À la confiture d’abricot. Lui à la fraise. Ah, euh toutes les sucettes sont interdites, c’est pas la peine d’en réclamer on en donne pas, on les mange toutes. Hier, j’en ai mangé une vingtaine. J’ai un de ces mal de ventre. Mais je me suis régalé.
Ça valait le coup. Excusez moi de vous fausser compagnie mais aujourd’hui on joue à cache-cache et si j’y vais pas, je vais m’faire engueuler.

#5
9.38 (215 votes)

- À l’arrivée du bateau, je m’enfuirai avec toi.
- C’est de la folie !
- Oui je sais. C’est vraiment insensé. C’est pour ça que j’y crois.

#6
9.37 (1065 votes)

Je veux dire, j’ai tout ce qu’il me faut ici avec moi. J’ai de l’air dans les poumons et quelques feuilles blanches pour travailler. J’adore me réveiller le matin sans savoir ce qu’il va m’arriver, qui je vais rencontrer, où je vais échouer. Il y a quelques jours j’ai dormi sous un pont et aujourd’hui je suis ici, sur le plus grand navire du monde, à boire du champagne en de si bonne compagnie. Je pense que la vie est un don et je ne veux pas le gâcher, on ne sait pas quelle donne on aura le jour suivant, on apprend à accepter la vie comme elle vient, pour que chaque jour compte.

#7
9.37 (1139 votes)

Des images me reviennent
Comme des souvenirs tendres
D’une ancienne ritournelle
Autrefois en décembre
Je me souviens il me semble
Des jeux qu’on inventait ensemble
Je retrouve dans un sourire
La flamme des souvenirs
Doucement un écho
Comme une braise sous la cendre
Un murmure à mi-mots
Que mon cœur veut comprendre
Je me souviens il me semble
Des jeux qu’on inventait ensemble
Je retrouve dans un sourire
La flamme des souvenirs
De très loin un écho
Comme une braise sous la cendre
Un murmure à mi-mots
Que mon cœur veut comprendre
Une ancienne ritournelle
Loin du froid de décembre

#8
9.36 (477 votes)

J’ai réfléchi à ce que tu m’avais dit l’autre jour, à propos de ma peinture ; j’ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j’ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n’ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j’ai compris ? Tu n’es qu’un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n’es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d’art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son œuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu’on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c’est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m’offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t’ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c’est que de se réveiller près d’une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c’est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n’as pas vécu la guerre. Tu n’as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l’as pas vu haleter jusqu’au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d’amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n’as pas connu de femme devant qui tu t’es senti vulnérable. Une femme qui t’aie étalé d’un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t’arracher aux profondeurs de l’enfer. Et tu ne sais pas ce que c’est d’être son ange à elle. Et de savoir que l’amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d’hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n’avais pas l’intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c’est que de perdre quelqu’un. Parce qu’on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu’on ne s’aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n’est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c’est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j’ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n’est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j’ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j’en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n’ai rien à apprendre de toi que je n’apprendrai pas dans n’importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m’intéresse. Là je suis à toi. Mais c’est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

#9
9.36 (381 votes)

Il m’a sauvée de toutes les façons possibles dont on peut sauver une personne…

#10
9.36 (524 votes)

Je vais me suicider avec des yaourts périmés.

#11
9.36 (1058 votes)

- Tu n’en as jamais parlé ?
- Non, jamais, à personne, pas même à ton grand père. Le cœur d’une femme est un océan de secret… Mais désormais vous saurez qu’il y avait un dénommé Jack Dawson, et qu’il m’a sauvée, de toutes les façons qu’une personne peut être sauvée. Je n’ai même pas une seule photo de lui. Il n’existe désormais que dans ma mémoire.

#12
9.36 (505 votes)

- Où va t-on mademoiselle ?
- Dans les étoiles !

#13
9.35 (1311 votes)

Lorsqu’on n’a rien, on n’a rien à perdre.

#14
9.35 (1049 votes)

- Mais qu’est ce que vous allez faire ? Vous allez le rejoindre ? Vous voulez être la putain d’un rat d’égout ?
- Je préfère être sa putain que votre femme !

#15
9.35 (1076 votes)

Je n’aime plus le monde dans lequel je vis ! Et tous les gens autour de moi… et l’inertie de mon existence qui se dérobe sous mes pas, sans que je puisse l’en empêcher… J’ai l’horrible impression d’être dans une pièce pleine de monde et j’ai beau hurler comme une folle, il n’y a personne qui se soucie de moi !

#16
9.35 (758 votes)

- Qu’est-ce que tu fumes Sanka man ?
- Je fume pas, j’expire.

#17
9.35 (282 votes)

Cours Forrest, cours !

#18
9.34 (716 votes)

À quoi ça sert de sauver la vie quand on voit ce que vous en faites.

#19
9.34 (307 votes)

Je n’abandonnerai jamais Jack…

#20
9.34 (523 votes)

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