Alors, il m’aime comme je suis. Sauvage, affamée, inguérissable, asociale. Il me regarde vivre avec tendresse et patience. C’est à lui seul que j’ai pu parler, petit à petit, par bribes, pour qu’il sache tout de moi, de ma difficulté à aimer les humains et à survivre parmi eux.
Une fois de plus dans la mêlée. Dans le dernier et plus grand combat de ma vie. Vivre et mourir aujourd’hui. Vivre… et mourir… aujourd’hui.