Film - Rock

Il y a à peu près 200 ans, des gens qui s’appelaient Washington, Jefferson et Adams, furent accusés de trahison par les britanniques. Maintenant on les appelle des patriotes. Ce jour viendra pour nous aussi.

Cela n’a rien d’un combat, c’est l’acte d’un fou à lier, mon Général. Moi je trouve que vous êtes un vrai connard.

- Le monde file plein gaz vers l’enfer, en ligne droite. Je crois sincèrement que ceux qui projettent de mettre un enfant au monde envisage en toute lucidité un acte extrêmement cruel. Oh je sais je divague je dis n’importe quoi, pardon… Et toi quoi de neuf mon amour ?
- J’suis enceinte.

- L’arbre de la liberté a fort souvent besoin d’être nourri avec le sang des patriotes et des tyrans, Thomas Jefferson.
- Le patriotisme est la vertu des brutes, si l’on en croît Oscar Wilde. [Il se mange un coup de poing] Merci de m’avoir donné raison.

- Les perdants disent qu’ils ont fait de leur mieux, les gagnants rentrent chez eux et baisent la reine du bal !
- Carla était la reine du bal !

« Ça m’aurait fait plaisir de t’arracher les boyaux » … « Ça m’aurait fait plaisir de t’arracher les boyaux ! » Qu’est-ce qui tourne pas rond… Mason ? Vous trouvez pas qu’il y comme un vent de folie sur cette île ?

Avec une tondeuse je trancherai pas les couilles à grand monde !

Ah ! On a des couilles mais on est incompétent.

J’ai l’estomac qui fait du yoyo autour de mon trou de balle.

Womack ?! Espèce de ballet à chiotte ! Pourquoi ne suis-je pas surpris !

- Nous avons un problème que vous pouvez peut-être nous aider à résoudre.
- De quel problème peut-il bien s’agir ? On m’a incarcéré plus longtemps que Nelson Mandela, vous voulez peut-être que je sois candidat à la présidence ?

Général, nous savons pourquoi vous êtes là et Dieu sait que je suis d’accord avec vous. Mais comme vous, j’ai fait le serment de défendre mon pays contre tout ces ennemis de l’extérieur… comme de l’intérieur. Nous avons fait couler le même sang dans les même tranchées, je ne peux donner cet ordre vous le savez aussi bien que moi !

Vous avez détenu ce type sans le juger toute sa vie ? Ben je comprends qu’il en ait marre !

Nous ne sommes pas des soldats. En capturant des otages, nous sommes devenus des mercenaires. Et les mercenaires on les paye ! Je veux mon putain de fric !

- Timeo danaos et dona ferentes.
- Je redoute les grecs même quand ils apportent des cadeaux.
- Oh ! Quelqu’un de cultivé.

- Quand vous vous êtes évadé, il faut pas que je m’emmêle les pinceaux : vous avez glissé le long de la gouttière de l’incinérateur, parcouru le tunnel jusqu’à la centrale, sauté sous les jets de flamme, ce qui était assez gonflé je dois dire, euh vous êtes entré dans la citerne par le conduit d’adduction mais comment par Jupiter et ses roubignoles êtes vous sorti de votre cellule ? Je demande ça car dans notre situation actuelle, ça pourrait s’avérer un renseignement UTILE… PEUT-ÊTRE !
[La porte s’ouvre]
- Secret défense fiston.

- Vous trouvez ça marrant ?
- Je dois dire que c’est plus drôle que mes passe-temps habituels : étudier la philosophie, éviter les viols collectifs dans les toilettes… quoique, j’ai eu moins de problèmes ces temps-ci, je perds peut-être mon sex-appeal !

Auriez-vous l’obligeance de laver mon nom ?

- Hummel va reculer, c’est un soldat, pas un assassin. Je l’ai lu dans ses yeux.
- Ah vous l’avez lu dans ses yeux ? Bon ben dans ce cas tout baigne !