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Les citations sur les femmes.

Le cœur d’une femme est un océan de secrets.

9.13 (2086 votes)

Toutes les filles devraient refuser les règles du jeu stupide qu’on nous impose et qu’on s’impose à nous-même. Il ne faut pas être trop grosse, ni trop maigre. Il ne faut pas avoir la peau trop claire, ni trop foncée, il ne faut pas être trop délurée, ni trop coincée, pas être trop intelligente, ni trop bête. Il faut être soi-même mais tu as intérêt à être dans la norme.

9.33 (2601 votes)

Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie…

9.15 (8607 votes)

- C’est une bonne situation ça scribe ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…

9.26 (3661 votes)

- Dieu crée les dinosaures. Dieu détruit les dinosaures. Dieu crée l’homme. L’homme détruit Dieu. L’homme crée les dinosaures…
- Les dinosaures mangent l’homme. Et la femme hérite de la Terre.


J’ai réfléchi à ce que tu m’avais dit l’autre jour, à propos de ma peinture ; j’ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j’ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n’ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j’ai compris ? Tu n’es qu’un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n’es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d’art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son œuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu’on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c’est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m’offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t’ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c’est que de se réveiller près d’une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c’est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n’as pas vécu la guerre. Tu n’as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l’as pas vu haleter jusqu’au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d’amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n’as pas connu de femme devant qui tu t’es senti vulnérable. Une femme qui t’aie étalé d’un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t’arracher aux profondeurs de l’enfer. Et tu ne sais pas ce que c’est d’être son ange à elle. Et de savoir que l’amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d’hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n’avais pas l’intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c’est que de perdre quelqu’un. Parce qu’on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu’on ne s’aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n’est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c’est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j’ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n’est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j’ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j’en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n’ai rien à apprendre de toi que je n’apprendrai pas dans n’importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m’intéresse. Là je suis à toi. Mais c’est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

9.36 (381 votes)

J’ai lu des centaines de romans dans ma vie, la plupart d’entre eux prétendent que l’amour est le centre de l’univers, qu’il peut guérir toutes les blessures que nous portons, qu’il est nécessaire à notre survie. De Darcy à Heathcliff je les prenais pour des idiots, je croyais que l’amour était une fiction qui ne se trouve que dans les pages usées d’un livre. Mais tout a changé depuis que j’ai rencontré mon Elizabeth Bennet. Je n’aurais jamais cru me retrouver complètement et totalement consumé par une autre avant elle. Elle m’a pris par la main, m’a fait sortir de l’obscurité me montrant que de quoi que soit faites nos âmes, les nôtres sont pareilles. Je suis désolé. Je t’en prie pardonne-moi. Tu m’as déjà demandé quelle personne j’aimais le plus au monde. C’est toi.

9.42 (285 votes)

- Ne fais pas ça, ne fais pas celle qui m’dit adieu. Pas encore… est-ce que tu m’a compris. Écoute, tu va te sortir de là, tu vivras longtemps, et tu vas faire plein de bébés… et tu va les voir grandir, et tu mourras très vieille, une vieille dame, bien au chaud dans ton lit… Pas ici… pas cette nuit… pas comme ça, est-ce que tu m’as compris ? Gagner ce voyage est la meilleur chose qui me soit arrivé, il m’a mené à toi, et je lui suis reconnaissant pour ça. Tu dois me faire cet honneur, à présent promets moi, que tu vas survivre, que tu n’abandonneras jamais, jamais… même si ça a l’air sans espoir… promets le moi, maintenant… et ne romps jamais cette promesse.
- Je le promets.
- N’abandonne jamais.
- J’abandonnerais jamais.

9.28 (2882 votes)

Mon amour, demain je pars pour un grand voyage, et même si je suis triste, je pars heureuse et sereine car j’ai appris avec toi à ne pas avoir peur de ce que nous réserve l’inconnu. J’ai appris que de montrer nos fragilités c’était nous rendre plus fort. J’ai appris à ne pas avoir peur d’aimer, avec toi Zac, j’ai appris à vivre, tu vas tant me manquer et pourtant je sais, je sens en moi que nous allons nous retrouver alors peu importe le nombre de jours ou de semaines qui nous sépare de ce moment là puisque nous nous retrouverons pour longtemps. En attendant, je te laisse un peu de mon odeur et cette petite lumière pour que tu n’aies plus jamais peur du noir tant que tu seras tout seul, tant que je ne serai pas à côté de toi. Je t’aime et je t’attends. Ton étoile, Sarah.

9.2 (4675 votes)

On est une génération d’hommes élevés par des femmes, je suis pas sur qu’une autre femme soit la solution à nos problèmes.

9.04 (511 votes)

L’argent et les femmes : les deux raisons pour lesquelles on fait le plus d’erreurs dans la vie.

8.99 (119 votes)

Au fur et à mesure que grandissent les filles, elles se font enseigner un tas de choses. Si un garçon vous donne un coup de poing c’est qu’il vous aime, n’essayez jamais de vous coupez vous même votre propre frange, un jour vous rencontrerez un gars merveilleux et vous vivrez alors votre propre conte de fée.
Tous les films que nous voyons, toutes les histoires qu’on nous raconte nous implorent d’attendre que ça nous arrive. Le coup de théâtre du 3e acte…
la déclaration d’amour inattendu… l’exception qui confirme la règle. Mais nous sommes parfois si pressées de vivre notre conte de fée que nous n’apprenons pas à interpréter les signes. Comment faire la différence entre ceux qui sont intéressés par nous et ceux qui ne le sont pas ? Ceux qui resteront avec nous et ceux qui ne resteront pas ?
Il se peut que parfois le gars merveilleux ne fasse pas partie du conte de fée, il se peut que ce soit… vous… toute seule… qui vous reconstruisiez
et vous repartirez à zéro, vous vous rendrez ainsi disponible pour un meilleur avenir. Peut-être que le conte de fée c’est tout simplement… tourner la page… Ou peut-être que le conte de fée c’est le fait que en dépit de tous les appels retournés, les cœurs brisés… en dépit de toutes les gaffes et les signes mal interprétés… en dépit de tous les chagrins et les humiliations… vous n’ayez jamais, jamais perdu espoir.

9.35 (376 votes)

T’aime ma robe ? J’ai hésité. J’l’ai chipé à ma sœur, y’en avait une autre : rouge, genre bombe thermonucléaire, tu vois ? Je sais que c’est celle là que j’aurai dû mettre mais j’ai peut-être passé, j’sais pas moi… Trois heures devant mon miroir. Mais j’y suis arrivée tu vois. J’suis jolie. Et alors là j’espère que ça te plait sinon j’te colle un de ces raclées. Attend… J’en étais où… Le problème c’est que même si tu m’disais j’adore j’te croirais pas. Julien je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue. Attend. J’ai pas fini. Dis moi qu’tu m’aimes, dis moi juste que tu m’aimes parce que moi j’oserais jamais te le dire la première, j’aurais trop peur que tu crois que c’est un jeu. Sauve-moi. J’t’en prie.

9.3 (1770 votes)

Me dis pas de la fermer ! Y a des femmes qui ont brulé leurs soutient-gorge c’est pas pour que trente ans après y ait des petits machos comme toi qui nous traitent comme de la merde !

9.28 (311 votes)

J’ai menti, ce n’est pas vrai, notre histoire n’est pas encore terminée. Je ne veux pas, je ne veux pas et c’est humiliant parce que je suis là à supplier. Ton choix est très simple. C’est elle ou moi. Et je suis sûre qu’elle est vraiment super. Mais Derek, je t’aime vraiment. Tu sais, vraiment, vraiment au point de prétendre adorer ton genre de musique, te laisser manger la dernière part de gâteau, tenir une radio à côté de mes oreilles en chantant sous tes fenêtres… Malheureusement ce qui fait que je te déteste fait que je t’aime aussi. Alors prends-moi. Choisis-moi. Aime moi…

9.28 (2926 votes)

Les filles riches volent, les mignonnes mentent, les malines jouent aux imbéciles et les pauvres tâches s’évertuent à vouloir égaler les trois autres.

9.23 (369 votes)

L’acte d’amour le plus parfait est le sacrifice, cacher ses sentiments pour pouvoir être bon ami. Je t’aime et je crois que je t’aime depuis que nos regards se sont croisés mais si ce que tu veux c’est que je te laisse tomber alors je vais le faire.

9.21 (2383 votes)

- Comment veux-tu mourir Tyrion, fils de Tywin ?
- Dans mon lit, à l’âge de 80 ans, le ventre rempli de vin, et ma queue dans la bouche d’une pute.

9.12 (104 votes)

Les roses sont rouges et les violettes sont bleues, je t’emmerde, sale pute.

9.09 (430 votes)

La fleur parfaite est chose rare. On pourrait passer sa vie à en chercher une, et ce ne serait pas une vie gâchée.

9.08 (186 votes)

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