Kaakook

Tag - plus qu’une citation de film

Les bons mots qui auraient leur place en dehors d'un film.

- C’est une bonne situation ça scribe ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…

9.25 (3653 votes)

Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie…

9.15 (8606 votes)

La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !


Mon amour, demain je pars pour un grand voyage, et même si je suis triste, je pars heureuse et sereine car j’ai appris avec toi à ne pas avoir peur de ce que nous réserve l’inconnu. J’ai appris que de montrer nos fragilités c’était nous rendre plus fort. J’ai appris à ne pas avoir peur d’aimer, avec toi Zac, j’ai appris à vivre, tu vas tant me manquer et pourtant je sais, je sens en moi que nous allons nous retrouver alors peu importe le nombre de jours ou de semaines qui nous sépare de ce moment là puisque nous nous retrouverons pour longtemps. En attendant, je te laisse un peu de mon odeur et cette petite lumière pour que tu n’aies plus jamais peur du noir tant que tu seras tout seul, tant que je ne serai pas à côté de toi. Je t’aime et je t’attends. Ton étoile, Sarah.

9.2 (4675 votes)

Je pense que le moment est venu de vous dire ce que j’ai appris, d’en tirer une conclusion, non ? Et bien ma conclusion c’est que la haine est une saloperie ! La vie est trop courte pour passer son temps à avoir la haine ! Ça n’en vaut pas la peine. Derek dit toujours que c’est bien de terminer un devoir par une citation, il dit que quelqu’un a déjà dû en faire une bonne, si on ne peut pas faire mieux, autant la lui emprunter carrément ! J’ai choisi celle-là et j’espère qu’elle vous plaira :

« Nous ne sommes pas ennemis, mais amis ! Nous ne devons pas être ennemis. Même si la passion nous déchire, elle ne doit pas briser l’affection qui nous lie. Les cordes sensibles de la mémoire vibreront dès qu’on les touchera, elles raisonneront au contact de ce qu’il y a de meilleur en nous. »

8.95 (1509 votes)

Voilà ! Vois en moi l’image d’un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu’un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d’une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Vœu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! [il trace un V sur une affiche] Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa Véracité Viendront un jour faire Valoir le Vigilant et le Vertueux. [il ricane] En Vérité ce Velouté de Verbiage Vire Vraiment au Verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c’est un Véritable honneur que de te rencontrer. Appelle moi V.


Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d’être seul comme un moineau sous la pluie… Fatigué d’avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d’où on vient et pourquoi… Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns contre les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde…

9.2 (2097 votes)

C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien… Jusqu’ici tout va bien… Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.

8.99 (1551 votes)

Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé.


Si vous lisez ceci, alors cet avertissement est pour vous. Chaque mot que vous lisez de ce texte inutile est une autre seconde perdue dans votre vie. N’avez-vous rien d’autre à faire ? Votre vie est-elle si vide que, honnêtement, vous ne puissiez penser à une meilleure manière de passer ces moments ? Ou êtes-vous si impressionné par l’autorité que vous donnez votre respect et vouez votre foi à tous ceux qui s’en réclament ? Lisez-vous tout ce que vous êtes supposés lire ? Pensez-vous tout ce que vous êtes supposés penser ? Achetez-vous ce que l’on vous dit d’acheter ? Sortez de votre appartement. Allez à la rencontre du sexe opposé. Arrêtez le shopping excessif et la masturbation. Quittez votre travail. Commencez à vous battre. Prouvez que vous êtes en vie. Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique. Vous êtes prévenu…

8.95 (1061 votes)

L’amour est toujours passion et désintéressé.
Il n’est jamais jaloux.
L’amour n’est ni prétentieux, ni orgueilleux.
Il n’est jamais grossier, ni égoïste.
Il n’est pas colérique.
Et il n’est pas rancunier.
L’amour ne se réjouit pas de tous les péchés d’autrui.
Mais trouve sa joie dans l’infinité.
Il excuse tout.
Il croit tout.
Il espère tout.
Et endure tout.
Voila ce qu’est l’amour.

9.12 (1911 votes)

Voyez cela je vois mon père.
Voyez cela je vois ma mère et mes sœurs et mes frères.
Voyez cela je vois tous mes ancêtres qui sont assis et me regardent.
Et voilà, voilà qu’ils m’appellent et me demandent de prendre place à leurs côtés dans le palais de Valhalla là ou les braves vivent à jamais.

8.26 (220 votes)

Lorsque l’on meurt ou que l’on souffre d’une horrible perte nous traversons tous cinq étapes de la peine. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. On s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on ne peut plus respirer, c’est comme ça qu’on survit. En se rappelant, qu’un jour, qu’en quelque sorte, vous ne le ressentirez plus de la même manière, ça ne fera plus aussi mal. Le chagrin vient à chacun en son temps, de sa propre manière. Alors le mieux que l’on puisse faire, le mieux que chacun puisse faire est de recourir à l’honnêteté. Le truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Et toujours, à chaque fois, vous ne pouvez plus respirer. Le chagrin comporte cinq étapes. Elles nous semblent à tous différentes, mais il y en a toujours cinq : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation.

9.23 (3088 votes)

Vous n’êtes pas exceptionnels, vous n’êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique pourrissante que tout le reste, nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout, nous appartenons tous au même tas d’humus en décomposition.

9.12 (961 votes)

Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fous l’un de l’autre…

9.28 (3620 votes)

Je hais ta façon de me parler
Et la couleur de tes cheveux
Je hais ta façon de conduire
Et de me regarder dans les yeux
Je hais tes stupides bottes d’armée
Et ce que tu devines en moi
Je te hais au point d’en crever
Et même de te tuer parfois
Je hais ta façon d’avoir raison
Tes histoires inventées
Je te hais quand tu me fais rire
D’avantage quand tu me fais pleurer
Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où
Mais je hais surtout de ne pas te haïr
Ni un seul instant
Ni une seule minute
Ni même du tout

9.26 (3277 votes)

Vous n’êtes pas votre travail, vous n’êtes pas votre compte en banque, vous n’êtes pas votre voiture, vous n’êtes pas votre portefeuille, ni votre putain de treillis, vous êtes la merde de ce monde prête à servir à tout.

9.12 (999 votes)

Ça fait tellement du bien d’aimer les gens qu’on aime que ça finit par faire mal.

9.09 (3058 votes)

- J'ignore qui vous êtes. J'ignore ce que vous voulez. Si c’est une rançon que vous espérez, je vous dis tout de suite que je n’ai pas d’argent. Mais ce que j'ai en revanche ce sont des compétences très particulières, je les ai acquises au cours d’une longue, très longue carrière et elles feront de moi un véritable cauchemar pour vous. Si vous relâchez ma fille maintenant, j'oublie tout, ça s’arrêtera là, je vous laisserai tranquille, je ne vous poursuivrai pas. Mais si vous la gardez, je vous chercherai, je vous trouverai et je vous tuerai.
- … Bonne chance.


- Ne fais pas ça, ne fais pas celle qui m’dit adieu. Pas encore… est-ce que tu m’a compris. Écoute, tu va te sortir de là, tu vivras longtemps, et tu vas faire plein de bébés… et tu va les voir grandir, et tu mourras très vieille, une vieille dame, bien au chaud dans ton lit… Pas ici… pas cette nuit… pas comme ça, est-ce que tu m’as compris ? Gagner ce voyage est la meilleur chose qui me soit arrivé, il m’a mené à toi, et je lui suis reconnaissant pour ça. Tu dois me faire cet honneur, à présent promets moi, que tu vas survivre, que tu n’abandonneras jamais, jamais… même si ça a l’air sans espoir… promets le moi, maintenant… et ne romps jamais cette promesse.
- Je le promets.
- N’abandonne jamais.
- J’abandonnerais jamais.

9.29 (2881 votes)

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