Kaakook

Tag - politique

Voilà ! Vois en moi l’image d’un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu’un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d’une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Vœu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! [il trace un V sur une affiche] Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa Véracité Viendront un jour faire Valoir le Vigilant et le Vertueux. [il ricane] En Vérité ce Velouté de Verbiage Vire Vraiment au Verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c’est un Véritable honneur que de te rencontrer. Appelle moi V.


- C’est une bonne situation ça scribe ?
- Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie… je ne suis qu’amour ! Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…

9.26 (3661 votes)

Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !!

9.4 (853 votes)

- Vous l’avez dressée contre moi !
- Si elle est contre toi c’est parce que TU l’as voulu.
- Vous ne me l’enlèverez pas !
- Ta colère et ta soif de pouvoir s’en sont déjà chargés… Tu as laissé ce seigneur noir des Siths corrompre ton cœur. À tel point que tu es devenu très exactement tout ce que tu avais juré de combattre.
- Je n’ai plus de leçon à recevoir de toi. Je ne suis plus abusé par les jedis. Je n’ai plus peur du côté obscur comme eux. J’ai apporté la paix, la justice, la liberté et la sécurité à mon nouvel empire !
- Ton nouvel empire ?!
- Ne m’oblige pas à te tuer !
- Anakin par allégeance je suis lié à la République. À LA DÉMOCRATIE !
- Si tu n’es pas avec moi, alors tu es contre moi…
- Seuls les Siths sont aussi absolus… [Prend son sabre] Je ferai ce que je dois faire.
- Tu essayeras… [petit sourire]

8.88 (321 votes)

Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons pas haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l’avons oublié.

L’envie a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent dans l’insatisfaction. Notre savoir nous a fait devenir cyniques. Nous sommes inhumains à force d’intelligence, nous ne ressentons pas assez et nous pensons beaucoup trop. Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d’humanité. Nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités humaines, la vie n’est plus que violence et tout est perdu.

Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes. En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes, de femmes, d’enfants désespérés, victimes d’un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.

Je dis à tous ceux qui m’entendent : Ne désespérez pas ! Le malheur qui est sur nous n’est que le produit éphémère de l’avidité, de l’amertume de ceux qui ont peur des progrès qu’accomplit l’Humanité. Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront et le pouvoir qu’ils avaient pris aux peuples va retourner aux peuples. Et tant que des hommes mourront, la liberté ne pourra pas périr.

Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes, à une minorité qui vous méprise et qui fait de vous des esclaves, enrégimente toute votre vie et qui vous dit tout ce qu’il faut faire et ce qu’il faut penser, qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canons et qui vous traite comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes machines avec une machine à la place de la tête et une machine dans le cœur. Vous n’êtes pas des machines. Vous n’êtes pas des esclaves. Vous êtes des hommes, des hommes avec tout l’amour du monde dans le cœur. Vous n’avez pas de haine, sinon pour ce qui est inhumain, ce qui n’est pas fait d’amour. Soldats ne vous battez pas pour l’esclavage mais pour la liberté.

Il est écrit dans l’Évangile selon Saint Luc « Le Royaume de Dieu est dans l’être humain », pas dans un seul humain ni dans un groupe d’humain, mais dans tous les humains, en vous, vous le peuple qui avez le pouvoir, le pouvoir de créer les machines, le pouvoir de créer le bonheur. Vous, le peuple, en avez le pouvoir, le pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure.

Alors au nom même de la Démocratie, utilisons ce pouvoir. Il faut tous nous unir, il faut nous battre pour un monde nouveau, décent et humain qui donnera à chacun l’occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité.

Ces brutes vous ont promis toutes ces choses pour que vous leur donniez le pouvoir : ils mentaient. Ils n’ont pas tenu leurs merveilleuses promesses : jamais ils ne le feront. Les dictateurs s’affranchissent en prenant le pouvoir mais ils font un esclave du peuple.

Alors, il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses. Il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, avec la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur.

Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous tous !

8.75 (255 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

9.31 (442 votes)

L’amour n’est pas l’amour s’il fane lorsqu’il se trouve que son objet s’éloigne. Quand la vie devient dure, quand les choses changent, le véritable amour reste inchangé.

9.21 (1792 votes)

Vous n’êtes pas votre travail, vous n’êtes pas votre compte en banque, vous n’êtes pas votre voiture, vous n’êtes pas votre portefeuille, ni votre putain de treillis, vous êtes la merde de ce monde prête à servir à tout.

9.12 (1001 votes)

Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé.


Son dos est tordu comme l’esprit d’un politicien.

9.06 (193 votes)

Ici Gossip Girl, celle qui révèle au grand jour ce que l’élite New-Yorkaise se donne tant de mal à cacher.

9.05 (296 votes)

Les cinq plus gros marchands d’armes au monde sont les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et la Grande-Bretagne… Les cinq membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU…

9.03 (103 votes)

People should not be afraid of their governments. Governments should be afraid of their people.


- Allez, va, va, ne fais pas grève, va voter Front National.
- Oh, putain, tu vas me lâcher avec ça.
- Quoi, quoi…
- Merde, tu vas pas me reprocher toute ma vie d’avoir voté une fois pour eux, une seule fois, c’est pas…
- Si !
- Tu vas pas m’emmerder toute ma vie avec ça, non ?
- Eh oui, je vais t’emmerder et toute ta vie en plus.

7 (10 votes)

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