Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1940

La vieillesse. C’est la seule maladie dont on ne peut espérer guérir.

#1
8.93 (74 votes)

Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons pas haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l’avons oublié.

L’envie a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent dans l’insatisfaction. Notre savoir nous a fait devenir cyniques. Nous sommes inhumains à force d’intelligence, nous ne ressentons pas assez et nous pensons beaucoup trop. Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d’humanité. Nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités humaines, la vie n’est plus que violence et tout est perdu.

Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes. En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes, de femmes, d’enfants désespérés, victimes d’un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.

Je dis à tous ceux qui m’entendent : Ne désespérez pas ! Le malheur qui est sur nous n’est que le produit éphémère de l’avidité, de l’amertume de ceux qui ont peur des progrès qu’accomplit l’Humanité. Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront et le pouvoir qu’ils avaient pris aux peuples va retourner aux peuples. Et tant que des hommes mourront, la liberté ne pourra pas périr.

Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes, à une minorité qui vous méprise et qui fait de vous des esclaves, enrégimente toute votre vie et qui vous dit tout ce qu’il faut faire et ce qu’il faut penser, qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canons et qui vous traite comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes machines avec une machine à la place de la tête et une machine dans le cœur. Vous n’êtes pas des machines. Vous n’êtes pas des esclaves. Vous êtes des hommes, des hommes avec tout l’amour du monde dans le cœur. Vous n’avez pas de haine, sinon pour ce qui est inhumain, ce qui n’est pas fait d’amour. Soldats ne vous battez pas pour l’esclavage mais pour la liberté.

Il est écrit dans l’Évangile selon Saint Luc « Le Royaume de Dieu est dans l’être humain », pas dans un seul humain ni dans un groupe d’humain, mais dans tous les humains, en vous, vous le peuple qui avez le pouvoir, le pouvoir de créer les machines, le pouvoir de créer le bonheur. Vous, le peuple, en avez le pouvoir, le pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure.

Alors au nom même de la Démocratie, utilisons ce pouvoir. Il faut tous nous unir, il faut nous battre pour un monde nouveau, décent et humain qui donnera à chacun l’occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité.

Ces brutes vous ont promis toutes ces choses pour que vous leur donniez le pouvoir : ils mentaient. Ils n’ont pas tenu leurs merveilleuses promesses : jamais ils ne le feront. Les dictateurs s’affranchissent en prenant le pouvoir mais ils font un esclave du peuple.

Alors, il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses. Il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, avec la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur.

Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous tous !

#2
8.75 (255 votes)

Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment comme nous d’un aussi grand amour.

#3
8.36 (100 votes)

- Monsieur, cette dame est mon épouse. Vous devriez avoir honte !
- Si cette dame est votre femme, c’est vous qui devriez avoir honte.

#4
8.27 (42 votes)

En Italie, durant 30 ans ils ont eu les Borgia, la guerre civile et la terreur. On vous tuait pour un rien mais ils ont produit Michel-Ange, Léonard de Vinci et la Renaissance. Tandis qu’en Suisse, ils ont pratiqué la fraternité, ils ont connu durant 500 ans la démocratie et la paix et ils ont produit une pendulette… qui fait coucou.

#5
8.15 (44 votes)

Vous avez le pouvoir de rendre cette vie magnifique, et d’en faire une merveilleuse aventure.

#6
7.89 (47 votes)

Of all the gin joints in all the towns in all the world, she walks into mine.

#7
7.86 (18 votes)

- Veux-tu que j’t’appelle les sbires ?
- Appelons les sbires, c’est une bonne idée, appelons les sbires ! Et le juge ! En vous dépêchant un peu, je crois que vous serez pendu ce soir !

#8
7.73 (12 votes)

J’ai 85 ans, quatre frères morts avant moi, deux sœurs, des amis, des ennemis… Je vis toujours…

#9
7.62 (11 votes)

Vous mourez bien mais vous riez mal !

#10
7.62 (11 votes)

- Je vous demande la permission de déjeuner tranquillement et de digérer ensuite…
- Oh non, à ton âge on ne digère bien qu’en courant vite ! Allez, ouste !

#11
7.62 (11 votes)

- Vous n’accompagnez donc plus votre femme au sermon le vendredi matin ?
- Comment, elle va au sermon toute seule ? Qui te l’a dit ?
- Euh, tout Venise. C’est de notoriété publique.
- J’n’aime pas beaucoup ce genre de plaisanterie.
- Ah, ne vous fâchez pas, ne vous fâchez pas. Je répète c’que j’ai entendu dire.
- Mais qui t’a dit qu’elle y étais ? J’lui ai défendu d’y aller.
- Ah bon, bah alors vous devez être tranquille. Voulez-vous que j’aille voir si la plus jolie femme de Venise est bien à la maison ?
- Mais de quoi t’occupes-tu ? J’suis assez grand pour surveiller ma femme moi-même !

#12
7.62 (11 votes)

- Oh, il l’a tué ! Il a tué mon fiancé !
- Ton fiancé ! Si j’avais tous tes fiancés dans mon régiment, j’aurais de quoi conquérir les Indes !

#13
7.62 (11 votes)

- Alors, c’est cet homme qui a voulu violenter cette dame ?
- Mais non, mais non, mais non, avec elle, ça ne coûte que cinq sequins !

#14
7.62 (11 votes)

- Eh bin, euh, Corbaccio, le prêteur sur gage.
- Oh, qu’il est dégoûtant…
- Oh comme mari, peut-être, mais comme témoin…

#15
7.62 (11 votes)

Corbaccio : Je lui ai tout donné ! J’ai déshérité mon fils pour lui !
Corvino : Et moi, j’lui ai amené ma femme, tu entends, ma femme pour le guérir !
Le juge : Halte ! Halte-là ! J’entends des choses qui m"étonnent et qui m’éclairent ! Ce que vous venez d’avouer l’un et l’autre ressemblent fort aux accusations de Léone. On a donc trompé la justice !

#16
7.62 (11 votes)

- Et moi, mon petit Mosca, et moi ?
- Je t’achète un mari. Je connais un Espagnol. Il a un nom long comme le Grand Canal. Sept prénoms, neuf noms de famille. Je te l’achète. Ton enfant sera noble.
- Mon petit Mosca, tu es un amour !

#17
7.62 (11 votes)

- Combien veux-tu ?
- Je n’veux rien, j’ai tout.

#18
7.62 (11 votes)

Rosebud.

#19
7.5 (38 votes)

Je n’ai pas mon compte !

#20
7.5 (10 votes)

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