Le professeur Procyon : Alcor, reviens ! Sois raisonnable ! Tu sais très bien que tu ne peux rien contre eux ! Alcor : On ne peut pas les laisser prendre Goldorak ! Actarus : Alcor, je ne te laisserai pas mourir pour rien ! Le professeur Procyon : Tu es sûr de pouvoir l’abattre cette fois ? Actarus : De toute façon, je ne peux pas laisser tomber Alcor, n’essaie pas de me retenir ! Le professeur Procyon : Actarus, Actarus !
- Actarus ! - Regarde père, la Lune est encore rouge ! - Actarus, mon fils ! Tu passes la plupart de tes nuits à observer cet astre mort ! Si ces monstres ont décidé de nous attaquer encore une fois, ce n’est pas en te faisant du mauvais sang que tu parviendras à protéger la Terre ! - Je sais ! - Écoute-moi, Actarus ! Tout ce que nous pouvons faire pour l’instant c’est essayer d’éviter que se reproduise ici sur Terre la même tragédie que sur Euphor !
- N’allez pas plus loin ! - Ah ! - Excusez-moi Rigel, je vous ai vu arriver, je voulais m’amuser un peu ! - GRRR, Procyon, à votre âge, vous n’avez pas honte de m’amuser à me faire peur espèce de vieux débris ? GRRR ! - Ne vous fâchez pas, on va tout de suite s’occuper de votre cheval, prenez l’escalier roulant et venez nous rejoindre Rigel !
- Tout ce qu’il nous reste à faire, c’est prier pour qu’il revienne vivant. - J’aurais tant aimé être avec lui.
Que je souhaiterais lui offrir une vie paisible et exempte de tout ceci. Si quelqu’un le mérite, c’est bien lui.