- Des perles de la mer de Propentis - Elles sont magnifiques, mais je ne peut les porter: Ménélas serait capable de nous tuer. - N’aie pas peur de mourir - Je n’ai pas peur de mourir. J’ai peur de demain. J’ai peur de te regarder prendre la mer en sachant que tu ne reviendras jamais. Avant que tu arrives a Sparte j’étais une ombre qui marchait, se nourrissait, se baignait dans les flots… Je n’étais qu’une ombre. - Tu ne dois pas craindre demain. Viens avec moi. - Ne joue pas avec moi… Ne joue pas - Si tu me suis, nous serons toujours en danger, pourchassés par les hommes, et maudits par les Dieu. Mais je t’aimerais. Jusqu’au jour où ils brûleront nos corps, je t’aimerais plus que tout.
- Jeune fou… - Écoute-moi. - Réalises-tu ce que tu as fait ?! Sais-tu combien d’années notre père a œuvré pour la paix ? - Je l’aime. - Tout ça n’est rien de plus qu’un jeu pour toi. Tu badaudes de ville en ville pour coucher avec les femmes des marchands et des temples, et tu penses connaître quelque chose à l’amour ? Que fais-tu de l’amour de ton père que tu as bafoué en emmenant cette femme sur ce navire ? Que fais tu de l’amour pour ton pays ? Tu laisserais Troie brûler pour cette femme ?!
- Est-ce que tu l’aimes ? - Tu es un grand roi pour tout l’amour que tu portes à ton pays, pour chaque brin d’herbe, chaque grain de sable et chaque pierre de la rivière. Tu aimes tout de Troie, c’est ainsi que j’aime Hélène. - J’ai mené beaucoup de batailles autrefois, certaines pour des terres, d’autre pour le pouvoir et pour la gloire. Je suppose que se battre par amour et beaucoup plus sensé que tout le reste.