Top - Citations de films et séries des années 1970

Du bœuf ? [Il pleure] Mon dieu, comment en sommes-nous arrivés là ?

J’vous pisse au cul, moi, monsieur !

Pauv’ con !

- Si tu as fait quelque chose qui fera tort à mon père, Dieu te protège !
- Je me fous de la protection de Dieu et encore plus de celle de ton père !

Écoutez-moi, tas de bouseux à cervelle nouée ! Nous allons vous enseigner l’art de la guerre, le métier le plus noble qui soit. À la fin de votre entraînement, vous serez en mesure de massacrer vos ennemis comme des êtres civilisés ! Mais d’abord, vous apprendrez à marcher au pas et à manier vos armes sans même avoir à réfléchir. Un bon soldat ne réfléchit pas, il obéit ! Est-ce que l’homme qui réfléchit accepterait de mourir pour sa patrie et sa reine ? Je n’en ai pas l’impression. Il préférerait une bonne partie de cricket. Un seul regard sur vos gueules de paysans tarés et je me dis : il y a là de quoi former une troupe d’élite ! Cet homme par exemple, au crâne en forme de cacahuète, cet homme a l’étoffe d’un pur héros !

- Je suis américaine. Qu’est-ce qui nous rend différend des Américains d’origine italienne ou germanique ?
- Pearl Harbor, c’est tout.

- C’est sans danger ? C’est sans danger ?
- C’est à moi que vous parlez ?
- C’est sans danger ?
- Qu’est-ce qui est sans danger ?
- C’est sans danger ?
- Je ne comprends pas. Je ne peux pas dire si quelque chose est sans danger ou non si je ne sais pas à quoi vous vous référer exactement.
- C’est sans danger ?
- Dites-moi d’abord ce que le sujet représente…
- C’est sans danger ?
- C’est sans danger, oui, c’est tellement sans danger que c’est à peine croyable !
- C’est sans danger ?
- Non, le danger est immense, je vous conseille d’être prudent, très prudent.

Ça veut dire qu’ils s’en tapent, qu’ils n’ont pas peur de mourir, au contraire ! Ce qu’ils veulent, c’est notre peau, et ils y mettront le prix ! Ça veut dire qu’on est foutus !

C’est l’armée qui doit garder l’armée contre sa propre population. Une vraie histoire de fous !

- Tu m’as promis que tu me raconterais tes médailles…
- Ah oui, c’est vrai. J’avais oublié… Alors, celle-ci m’a été donnée par le sultan d’Alep parce que j’avais trouvé de l’eau dans le désert…
- Papa !
- Celle-la, c’est, c’est l’ordre du mérite 1973. Pourquoi est-ce que tu me redemandes tout le temps, hum ? Sais-tu seulement pourquoi on vous les donne ?
- Pour que tu saches comme tu es important.

C’était le colonel Zeller qui m’a contacté en premier… C’était le colonel Zeller qui m’a contacté en premier… C’était le colonel Zeller qui m’a contacté en premier…

- Je n’en crois pas mes oreilles !
- Laisse-moi t’expliquer !
- Vous avez tous perdu la tête !
- Ne sauve pas, tu m’entends ! Écoute ! Ne te presse donc pas de condamner ce que je viens de te dire. Tu t’emballes. Il faut y repenser.
- Y repenser ! Repenser à quoi ? Suivre une équipe de traîtres ! Dans une voie qui mène droit au poteau d’exécution. Car c’est une trahison, ce que vous projetez ! Tu ne te rends peut-être pas compte ?
- Mais je le sais aussi bien que toi ! Nous nous connaissons, ne nous grisons pas de propos ronflants sur l’honneur militaire. Crois-tu qu’il y ait un autre moyen pour nous débarrasser des crapules qui nous gouvernent ? Ou est-ce que tu te préoccupes uniquement de ton avancement ?
- Qui d’autre est dans le coup, en plus de toi et de Narriman ?

- Si j’avais été dans la tente au lieu de Stauffenberg, m’auriez-vous tué ?
- Bien sûr que non !
- Votre réponse jaillit trop vite !

Le premier homme de Blair : Voilà les photos du docteur Rousseau et de sa femme. Il a vingt ans de plus qu’elle. Ce n’est peut-être pas très visible sur ces photos de passeports mais ce sont les seules que nous ayons dans nos dossiers.
Blair : Concentrez-vous sur elle. Ne vous occupez pas de lui.
Le deuxième homme de Blair : Pourquoi elle ?
Blair : Parce qu’elle a vingt ans de moins que lui. Toujours miser sur la corde sensible. Toujours.

- Pourquoi est-on arrêté ?
- Avez-vous déjà vu un tel scandale ? Tout un bataillon bloqué afin que le cabot d’un ministre puisse pisser tranquillement !

- Eh ! Oh ! Qu’est-ce que vous faites ici ?
- Hein ? Oh, j’suis venue pendant que vous dormiez, j’étais gelée.
- Pourquoi moi ? Pourquoi pas lui plutôt qu’moi ?
- Oh, parce qu’il est jeune alors je craignais que… Vous, vous êtes vieux, vous êtes plus confortable.
- Confortable ?
- Ah, j’ai rien trouvé d’autre…
- On m’a déjà donné bien des noms mais confortable…

- Eh bien, vous avez mis un certain temps, je commençais à ne plus savoir quoi lui dire…
- Oh ça, ça m’étonnerait !

Un jour très prochain, je vous le promets, nous occuperons toute la zone interdite et nous y planterons nos drapeaux ! Il est temps que notre peuple sache que son armée est faite pour le pouvoir ! Et nous envahirons la zone interdite ! Nous l’envahirons ! Nous l’envahirons ! Nous l’envahirons !

Si jamais le Japon doit se battre contre les États-Unis, il n’y a pas d’autre issue. Il faudra que nous attaquions la flotte américaine qui se trouve dans le Pacifique avec tous les moyens dont nous disposons et dès le début de la guerre. Les avions lance-torpilles pour Pearl Harbor, qu’en dites vous ?

Comment puis-je débarquer à terre mes troupes d’invasion sur Midway si du côté ennemi les terrains d’aviation et les batteries côtières n’ont pas été neutralisés ?