Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1982

- Eh, Pierre ! Y a un monsieur très malpoli qu’a téléphoné, y voulait enculer Therèse !
- Oui mais c’est un ami.
- Ah bah ça va alors.

#1
9.23 (316 votes)

C’est c’lâ oui…

#2
9.17 (244 votes)

Mais je vous en prie. Figurez-vous que Thérèse n’est pas moche. Elle n’a pas un physique facile… C’est différent.

#3
9.04 (355 votes)

- Mardi je passe mon Bac natation, j’ai vachement la trouille !
- C’est rien…
- Mais j’sais pas nager…

#4
9.04 (146 votes)

- Mais… mais qu’est ce que c’est que cette matière ? Mais c’est d’la merde ?!
- Non, c’est kloug.

#5
9.03 (197 votes)

- Écoutez : de l’extérieur c’est déjà magnifique ! Oh Thérèse ! Une serpillère ! C’est formidable, écoutez, fallait pas…
- mais non Pierre c’est un gilet…
- Ah mais oui bien sûr, c’est un gilet ! Où avais-je la tête ? Il y a des trous plus grands pour mettre les bras ! Si vous saviez comme ça tombe bien, je me disais encore hier soir qu’il me manquait quelque chose pour descendre les poubelles. Je suis ravi Thérèse !

#6
9.01 (242 votes)

J’ai vu tant de choses, que vous, humains, ne pourriez pas croire… De grands navires en feu surgissant de l’épaule d’Orion, j’ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la Porte de Tannhaüser. Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme les larmes dans la pluie. Il est temps de mourir.

#7
9.01 (182 votes)

Qu’est ce que tu veux, les flics se fringuent en loubards, les écolières en putes, et les putes en bourgeoises. Comment veux tu t’y reconnaître !

#8
8.91 (118 votes)

« Ça dépend »… Oui ça évidement, on vous demande de répondre par « oui » ou par « non » alors : ça dépend, ça dépasse !

#9
8.9 (136 votes)

- Qu’est ce qu’il te voulait ce type ?
- Ben, me draguer, qu’est ce que tu crois…

#10
8.83 (67 votes)

- C’est drôle, mais j’ai l’impression que je serai plus jamais amoureuse Poupette.
- T’as quel âge ? 15 ? …
- … Et 3 mois.
- C’est une impression !

#11
8.82 (100 votes)

Vic : Vas y…
François : À toi l’honneur !
Vic : Bon ben d’abord, le concert c’était génial. Ça a fini tard et…
François : … Bon ça suffit ! Avant tout une règle : t’es malade, en panne, enceinte, droguée, un coup dur ; tu téléphones !
Vic : Les coups durs y’a qu’ça pour vous les parents. Y’a pas que les coups durs dans la vie ! Y’a plein de choses qui peuvent vous empêcher de téléphoner. On m’a piqué mon sac, on a marché, il pleuvait, on avait pas d’argent, on a fait du stop… Mais c’était pas des coups durs justement parce qu’on était bien, j’étais heureuse, et j’avais pas envie de rentrer… Même si je savais que t’étais inquiet, et que t’allais m’engueuler…
François : On verra ça demain… Aller file !…[à la mère] Les emmerdements commencent !
Françoise : Quoi, qu’est ce qu’il s’est passé ?
François : Elle est heureuse…

#12
8.79 (97 votes)

Le mariage est l’art de résoudre à deux les problèmes que l’on ne se posait pas lorsque l’on était seule !

#13
8.79 (81 votes)

Tous ces moments se perdront dans l’oubli, comme des larmes dans la pluie.

#14
8.77 (120 votes)

- Ils me demandent de faire des gants à trois doigts pour les petits lépreux de Djakarta. C’est tout la Croix-Rouge ça ! Vous croyez pas que j’aurais plus vite fait de faire des moufles ?
- Entre nous Thérèse, une bonne paire de chaussettes et hop ! Ohhh ! On dit de ces bêtises parfois…

#15
8.77 (112 votes)

- Il te plaît ou pas ?
- Oui, peut-être. Enfin je sais pas encore, j’me demande…
- Si tu te demandes, c’est qu’il te plaît !

#16
8.76 (95 votes)

Je n’aime pas dire du mal des gens, mais effectivement elle est gentille.

#17
8.73 (179 votes)

Ma vie s’éteint, la vue se brouille, il ne reste plus que le souvenir. Je m’souviens d’un temps ou régnait le chaos, un temps de rêves brisés, de terres dévastées… Mais par-dessus tout, je me souviens du guerrier de la route. L’homme que nous appelions Max. Pour comprendre qui était cet homme, il faut revenir à une autre époque. Quand le monde tournait au carburant noir et que florissaient dans les déserts de grandes cités de tubes et d’acier… Disparues, maintenant, balayées… Pour des raisons aujourd’hui oubliées, deux puissantes tribus entrèrent en guerre allumant un brasier qui les dévora toutes les deux. Sans carburant, elles n’étaient rien. Leur empire était de paille. Le grondement des machines hoqueta et s’éteignit. Les chefs parlèrent, et parlèrent… Et parlèrent encore. Mais rien ne pouvait endiguer le désastre. Leur monde s’écroula… Les villes explosèrent provoquant une tornade de pillages. Un vent brûlant de terreur ; L’homme commença à se nourrir de l’homme. Sur les routes régnait le cauchemar de la ligne blanche. Seuls les flibustiers les plus mobiles, les pillards les plus impitoyables survivaient… Les bandes prirent le contrôle des routes prêtes à se faire la guerre pour un bidon de carburant. Dans ce maelström de pourriture, le commun des mortels était brisé, écrasé. Des hommes comme Max, Max le guerrier. Dans le rugissement d’un moteur, il avait tout perdu… Et il devint un homme vidé, consumé, ravagé, un homme hanté par les démons de son passé, un homme qui errait sans but par les terres désolées. Ce fut ici, dans ce lieu maudit, qu’il réapprit à vivre…

#18 8.72 (29 votes)

C’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim.

#19
8.71 (137 votes)

Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, mais j’étais à deux doigts de m’agacer.

#20
8.71 (129 votes)

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