Depuis longtemps, je sais que la destination finale… c’est le bocal à poissons : un monde où les adultes se cognent comme des mouches à la même vitre. Mais ce qui est certain, c’est que dans le bocal… j’irai pas !
Le jeu de go n’est pas un équivalent des échecs. Aux échecs, il faut tuer pour gagner alors qu’un des plus beaux des aspects du jeu de go, c’est que pour gagner il faut vivre mais aussi laisser vivre son adversaire. La mort et la vie ne sont que la conséquence d’une construction bien ou mal bâtie. Et ce qui compte c’est de bien construire.