Legolas : Du Lembas. Du pain de route Elfique. Une bouchée suffit à nourrir l’estomac d’un adulte. Merry : [À Pippin] Tu en as mangé combien ? Pippin : Quatre.
- Pourquoi est-il si énervé, il ne s’agit que d’une botte de carottes, et de quelque choux et aussi des trois sacs de pomme de terre que nous avons empruntés la semaine passée ainsi que les champignons de la semaine d’avant. - Oui Pippin, si tu veux mon avis sa réaction est démesurée.
Aragorn : Qu’est-ce que vous faites ? Vous avez déjà pris votre petit déjeuner ! Pippin : Le premier, c’est vrai ! Mais qu’en est-il du second petit déjeuner ? [Aragorn repart] Merry : Il a pas l’air au courant pour le second petit déjeuner… Pippin : Mais… et le déjeuner, le goûter, le dîner, le souper ? Il est au courant pour ça, hein Merry ? Dis-moi qu’il est au courant ! Merry : Je crois qu’il va falloir que tu les oublies, Pippin…
- Tu crois que l’on devrait partager avec Sylvebarbe ? - … Non… des feuilles mortes ! Il ne comprendrait pas ! Ça pourrait être de la famille… - Ah ! J’ai saisi ! Ne soyons pas hâtif !
Merry : Des tomates, des saucisses, et du bacon bien grillé. Sam : On vous en a gardé m’sieur Frodon. Frodon : Éteignez ce feu sombres crétins, vite ! Pippin : Oh, j’te remercie, de la cendre sur mes tomates !
- Sylvebarbe a peut-être raison. On est pas d’ici Merry. Tout cela nous dépasse. Qu’est-ce qu’on peut faire ? Nous avons la Comté. On devrait rentrer chez nous. - Les flammes d’Isengard vont se répandre. Les forêts du bourg de Touque et du pays de Bouc vont brûler. Et tout ce qui aura été bon en ce monde disparaîtra. Il n’y aura plus de Comté Pippin.