Très vite, mon analyse montra que le Joker, souvent décrit comme un psychopathe dangereux et cruel, n’était en fait qu’une âme torturée qui avait besoin d’affection. En conclusion, c’était un enfant maltraité qui cherchait à faire rire par ses bouffonneries. Malheureusement, à chaque fois surgissait le vertueux Batman qui s’obstinait à rendre impossible la vie de mon poussin !