- Savez-vous où se trouve l’Avenue Riverside ? - T’as l’intention de boire quelque chose ? - Oui ! Donnez-moi un Spirit Gini ! - Génie sans bouillir ? Tu t’es trompé de porte ! La droguerie c’est à côté. - Bon ben donnez-moi un Pepsi régime ! - Si tu fais un régime, ne bois pas de Pepsi ! - Bon ben donnez-moi n’importe quoi du moment que ce ne soit pas sans sucre ! - Quelque chose sans sucre !
Merlin : Higitus Figitus, vent et neige galère. Sire Hector : Mais que diable avez-vous fait là, Mervin ? Merlin : Et voici ce que j’appelle moi, la preuve par froid ! Sire Hector : Ça alors, Kay, regarde ça, la neige dans le château et en plein de mois de Juillet ! Sire Kay : Et alors ? Sire Hector : Très bien Mervin brrr, vous m’avez convaincu. Arrêtez ce froid, brrr ! Merlin : Alakazaam !
Sire Hector : J’espère qu’au moins vous ne faites pas de magie noire Mervin ! Merlin : Oh, non, non, je ne touche jamais à ces choses là ! Ma magie est surtout bénéfique ! En fait, je suis venu ici pour instruire le Moustique ! Sire Hector : Ah, non, rien à faire ! C’est moi le patron ici et si vous croyez que vous allez bouleverser mes horaires, vous pouvez faire vos bagages et repartir en vitesse ! Par tous les diables ! Kay, il est parti ! Sire Kay : Bon débarras ! Merlin : J’ai disparu mais je ne suis pas parti et quand je disparais, soyez sûr que je suis vraiment parti hé, hé, hé ! Sire Hector : Très bien, vous m’avez encore eu Mervin ! Ça va ! Vous avez gagné ! Restez ici si vous le désirez !
Arthur : On s’amusait et tout allait bien jusqu’au moment où est arrivé un gros et immense brochet avec des dents pointues ! Sire Kay : Fais-le taire, Pa ! Arthur : C’était un vrai monstre, le plus gros que j’ai jamais vu ! Sire Kay : Et ton mensonge et le plus gros que j’ai jamais entendu ! Arthur : Mais c’est vrai Seigneur ! Sire Kay : Tu auras trois mauvais points pour ton retard et trois autres pour ton histoire ! File, va à la cuisine ! Sire Hector : Ah, j’ai toujours su que le Moustique était fou ! Sire Kay : Il a perdu l’esprit ou il se passe des choses étranges ici !
Sire Hector : Regarde, fils ! Ils combattent à l’épée ! Arthur : L’épée, l’épée, oh mon Dieu ! Kay ! Sire Kay : Quoi, Quoi ! Arthur : Je, j’ai oublié ton épée ! Sire Kay : Tu as oublié mon épée, idiot ! Arthur : Je l’ai laissée à l’auberge ! Sire Kay : Malheureux, misérable crétin ! Va me la chercher et ramène là ou je t’arrache les oreilles !
Sire Hector : Ça va bientôt être à toi, fils ! Apprête-toi, il est temps ! Arthur : Kay, voici ton épée ! Sire Kay : Mais, ce n’est pas mon épée ! Sire Hector : Attends, attends, laisse-moi lire ! Celui qui pourra arracher cette épée sera… Ciel, c’est l’épée qui était dans l’enclume !
Sire Hector : Ça, alors, Kay, tu as entendu ? Sire Kay : Ouais, je me vois très bien avec une couronne ! Sire Hector : Et je crois que tu peux gagner ce tournoi fils si tu t’entraînes sérieusement ! À Noël, je te fais Chevalier et ensuite j’t’enverrai à Londres au Nouvel An hein, qu’en dis tu ? Sire Kay : Ouais, pourquoi pas, pourquoi pas, pourquoi pas… Sire Hector : Moustique, est-ce que ça te dirait d’aller à Londres ? Arthur : Seigneur, vous m’y enverrez ? Sire Hector : Si, tu fais correctement ton travail, tu seras l’écuyer de Kay ! Arthur : Oh, j’ferai de mon mieux, Seigneur ! Sire Kay : Je n’veux pas du Moustique comme écuyer, Pa !
- Attends un peu, puisqu’elle a été sortie une fois, maintenant n’importe qui d’autre peut le faire ! - Vas-y, fiston, arrache-la, mets-y toutes tes forces ! Attends, je vais t’aider ! Essaie de l’arracher !
- Espèce de crétin, petit maladroit ! - J’te demande pardon Kay, j’lai pas fait exprès ! - Si jamais je t’attrape, j’te l’jure, j’t’écraserai comme un Moustique ! - J’vais chercher ta flèche, je suis sûr de la retrouver ! - Oh, oh, oh ! Ne me dis pas que tu vas dans la forêt oh oh ! Les bois sont pleins de loups ! - J’ai pas peur des loups ! - Bah vas-y, après tout c’est ta peau, pas la mienne, vas-y, oui vas-y !