Film - Judge dredd

- Je n’avais pas le choix ils se zigouillaient tous là-dehors !
- Vous auriez pu sauter par la fenêtre.
- Du 40e étage ? Mais c’était suicidaire !
- Peut-être, mais c’était légal…

La loi c’est moi.

- Le clan légendaire Angel et fils, pirates de la terre de malédiction, assassins, charognards, et avant tout… sac à merde.
- Ça je sens que ça va les amadouer.

J’étais sur que vous diriez ça.

- Vous n’avez pas d’ami ?
- J’en ai eu un par le passé.
- Que lui est-il arrivé ?
- Je l’ai jugé.

Je t’exploserai moi-même la cervelle… personnellement !

- Sale pute !
- Juge pute. [Et elle lui met un coup de boule]

Tu sais qu’on a le choix : on peut créer toute une race de conformistes tarés au cerveau passé à la moulinette et les nommer « juges » ou alors on peut créer des gens aux idées larges et les nommer « humains ».

Visée auto-guidée, turbo-sulfateuse.

La loi c’est moi, et vous êtes en état d’arrestation !

Double dérouillée.

Law as we knew it, colapsed. From the decay, rose a new order, a new style of justice enforcers. They were the police, jury and executioner all in one. They were, The Judges.

- Je ne bougerai pas d’ici, pas avant qu’on me coffre ou que vous me fassiez vos excuses !
- La loi ne fait pas d’excuses ! Jamais je n’ai fait d’excuses…