Série - Les aventures de Tintin

Mais puisque je vous dis Mille sabords que c’est le Karaboudjan.

Mais puisque je vous dis que je suis innocent, c’est lui le coupable !

Le capitaine Haddock : Bandits, escrocs, brutes !
Allan Thompson : Crie tant que tu veux, personne ne t’entend, pour la dernière fois, dis-moi où est Tintin ?
Tintin : Je suis là !

- Graine de vaurien, je vais te flanquer une de ces corrections !
- Monsieur, c’est épouvantable !
- Tout à l’heure Nestor, tout à l’heure !
- Monsieur, tous ces Messieurs se sont installés dans le grand salon !

- Je connais un proverbe chinois qui dit : « briser une branche d’un seul coup est très facile, en briser deux est beaucoup plus dur. »
- Je m’appelle Tintin !
- Et moi, Tchang !

- Tintin, Tintin, Tintin…
- Tchang !

- Tchang, tu es vivant ?
- Tintin, je savais que tu finirais par me trouver !

Ah, je ris de me voir si belle en ce miroir ! Ah, je ris de me voir si belle en ce miroir ! Est-ce toi, Marguerite ? Réponds-moi, Réponds-moi, Réponds-moi ? Réponds vite !

À gauche, je voudrais bien vous-y voir !

Une toute petite piqûre et je vous rends la liberté !

J’en ai plus qu’assez d’entendre ces histoires de Yéti puisque je vous dis qu’il n’existe pas votre bonhomme de neige. Ce sont des traces d’ours, ils marchent aussi parfois sur leurs traces de derrière.

Avez-vous trouvé la voie ? Non, bon, je m’en vais vous couper la tête ! Voyons n’ayez pas peur.

Attention, le savant a fait la connaissance d’un jeune journaliste dont il faut se méfier à tout prix, il faut les faire disparaître tous les deux.

Ciel, mes bijoux !

Boum, boum, quand votre moteur fait Boum, n’hésitez pas, appelez Simoun, une dépanneuse viendra vers vous. Boum, boum, quand votre moteur fait Boum. Hein ? Oh !

- Comptez sur nous, Motus et bouche cousue, telle est notre devise !
- Je dirais même plus, Botus et mouche cousue, telle est notre Venise !

- Eh bien Dupont, affaire classée !
- Un jeu d’enfant !
- Mon opinion est faite, cette lettre est une lettre anonyme !
- Je dirais même plus, une lettre anonyme dont l’auteur nous est inconnu !
- Le fétiche est remis à sa place habituelle, tout est rentré dans l’ordre !

Ce misérable, sale traître de Pablo, ce lâche !

- Peggy ma colombe, je suis parti faire la révolution contre cet infâme Tapioca quand ce sera fini, tu auras le palais que je t’ai promis, grosse bise de ton Zaza.
- Ah le monstre, il est parti, GRR, Alcazar !

- Alcazar Qu’est-ce que c’est que cette façon de filer à l’anglaise ? Ah, ça va être difficile d’entretenir un palais comme ça ! Commencez donc par ne plus laisser traîner vos cendres un peu partout. Vous avez compris ?
- Oui, oui ma colombe !