Top - Citations de films et séries des années 1960

- Euh, brièvement, donnez-moi un compte-rendu concernant les effectifs dont nous disposons. La compagnie permanente est-elle prête pour entrer en action ?
- Mais il n’y a aucune compagnie permanente.
- Mais, je ne comprends pas.
- Elle vient d’être transférée.
- Ah ? La compagnie de réserve est-elle bien équipée ?
- Elle n’existe plus.
- Et les six cents volontaires Russes et Polonais, on peut compter sur eux ?
- Les soi-disant volontaires ont disparu.
- Capitaine Schmidt, sur le papier, en tout cas, vous disposez de seize cents éléments. Combien en fait en avez-vous ?
- Environ deux cents et j’y inclus le détachement du pont.
- Et les quatre cents miliciens, les Forces du Peuple, les Jeunesses Hitlériennes ?
- Une poignée d’hommes.
- Mais où sont les autres ?
- Ils ont déserté.
- Herr hauptmann, vous rendez-vous compte que vos propos sont une trahison ?
- Non, Herr major, ce n’est qu’la vérité.

Nous sommes saufs. Ils l’ont fait sauter et nous sommes saufs !

- Excusez-moi, lieutenant, puis-je savoir d’où vous tenez ceci ?
- D’un de mes amis.

- Le Führer a donné l’ordre que, quel qu’en soit le prix, l’Allemagne ne céderait plus un pouce de terrain à l’ennemi.
- Herr feldmarshal, si on gagnait avec des ordres, nous ne serions sûrement pas en train de nous battre acculés au Rhin mais nous ferions la noce à Londres, au Savoy !
- Je vous suggère de mieux peser vos mots, Herr general, on pourrait se méprendre sur leur sens.

Y’a des impulsifs qui téléphonent, d’autres qui se déplacent.

Mais non, pas Franzoze, Français ! Tu peux donc pas parler comme tout le monde, eh pocheté !

Jean a de longues moustaches.

Il n’y a pas de bonnes habitudes. L’habitude, c’est une façon de mourir sur place…

Alors, maintenant, garde bien la distance, trop près, il nous verrait, trop loin, on le verrait plus.

Voilà l’Élu du Seigneur !

Samuel est mort. Israël le pleure. Il est maintenant enseveli à Rabbah, sa ville natale. Et les maudits Philistins se préparent à l’attaque en grande hâte. Ils sont une multitude. David, je les crains. Et mon âme est troublée devant ce péril redoutable. Mais Dieu ne m’a pas éclairé. Il n’a répondu ni par ses prophètes ni par le truchement d’un songe. Et pourtant le cruel Ashrod n’hésitera pas à faire la guerre. Au milieu de ses hommes se trouve un géant nommé Goliath. Goliath de Gath. Un monstre sans âme doué d’une force prodigieuse. Sa taille fait plus de six coudées et un empan et il porte une armure de bronze. Une armure qui pèse à ce qu’on dit cinq mille sicles d’airain. Le bois de sa terrible lance est comme une ensouple de tisserand. Et la pointe de cette lance gigantesque pèse six cents sicles de fer.

Lâches ! Vous êtes tous des lâches !

Bats Goliath et je ne détruirai pas Israël !

Regarde le ciel, Goliath ! Les corbeaux sont de sinistres augures !

Un berger misérable qui dresse la population contre son roi !

Tu es parvenu à gagner nos cœurs.

David, crois-tu aux présages ?

- Y’a-t-il des femmes parmi les esclaves ?
- Bien sûr !
- Excellent ! Mes hommes ont des chevaux et des armes mais pas de femmes. Combien de temps encore pourront-ils s’en passer ? Hein, qu’en penses-tu ?

- Non ! Non, Shan, les femmes ne seront pas prises contre leur volonté !
- Mais seigneur, les femmes, c’est fait pour ça ! Et puis d’ailleurs, les meilleures sont déjà prises.
- Il ne faut pas choisir un cheval sur les marques que lui a laissée la selle. Je vais en choisir une pour toi.

Tu leur donnes le choix ? À des femmes ?