Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1960

- Vous rappelez-vous ce que Napoléon disait à propos de la Chine ?
- Oui, je m’en souviens. Laissez la Chine dormir car lorsqu’elle s’éveillera, le monde entier tremblera.
- Que n’a-t-il pas dit, celui-là !

#101
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- Alors ? Quel est cet important problème féminin ?
- Seulement celui-ci. Dois-je faire les malles ou ne pas faire les malles ? Retournons-nous en Angleterre ? Prenons-nous notre congé cette année ?
- Ah ! J’sais pas !
- Vous ne savez pas ?
- Pourquoi ne feriez-vous pas les malles ? Si nous ne partons pas, il vous suffira de les défaire.
- Si c’étaient les hommes qui faisaient et défaisaient les malles, la face du monde serait toute différente !

#102
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[Lors du commencement de l’édification des barricades, on prend ce qu’on peut. Des marins français entassent des livres. Le ministre français arrête un marin et regarde un livre]
Histoire d’Angleterre ? Pfff !
[Il envoie le marin entasser les bouquins avec les autres]

#103
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Sir Arthur Robertson : Le captaine Hanley m’a dit que vous avez repris le Mur, mon commandant. Je suppose qu’on vous a dit. Il est mort aussi.
Le sergent Harry : Monsieur le ministre peut peut-être nous dire pourquoi il est mort et pourquoi le capitaine Marshall est mort, puisqu’il a l’air de tout savoir ?
Le major Lewis : Ça suffit, sergent. Retournez là-bas.
Sir Arthur Robertson : C’est un excellent soldat quand il sait pourquoi il se bat.
Le major Lewis : C’est plus facile quand c’est pour quelque chose qui se voit, un mur, un bastion, une rivière… Mais comment leur expliquer quand c’est pour un principe ?
Sir Arthur Robertson : Ce n’est pas facile, surtout ici, en Chine. C’est trop loin de leur pays.

#104
7.73 (12 votes)

Les inconnus sont quelques fois les meilleurs amis d’un soldat.

#105
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[Confusion des hymnes nationaux joués par les diverses fanfares]
- Qu’est-ce que c’est, cet horrible vacarme ?
- Il y a vingt nations qui crient la même chose en même temps, « Prenons la Chine ! »

#106
7.73 (12 votes)

- Que diable y a t-il dans cette diligence ?
- C’est simple, tu t’approches et si tu prends une balle dans la carcasse, c’est de l’or !
- Bonne idée.

#107
7.71 (25 votes)

- Devinez ce que je viens de trouver dans un placard à balais… une femme de ménage.
- Quoi, c’est logique ?
- Bah oui à partir du moment où le valet de chambre est dans le piano, oui.

#108
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Je pourrais pas vivre aux Indes. je dis les Indes comme je dirais la Chine ! C’est la même misère tout ça ! … Je suis sûr qu’un jour aux Indes, y mangeront les touristes… comme ça… sans méchanceté… un coup de fringale. Pareil en Chine, vous verrez qu’y ne boufferont pas toujours que du riz en Chine… Y tourneront voraces.

#109
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Les sanglots longs des violons de l’automne
Blessent mon cœur d’une langueur monotone.

#110
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À propos de temps qu’il fait… L’autre jour quand il faisait si froid, l’un de mes amis est entré dans un magasin pour acheter un pardessus. Il y était déjà venu 10 ans auparavant acheter un autre pardessus. Il ouvre la porte et dit au vendeur : « Bonjour Monsieur, c’est encore moi ! »

#111
7.63 (28 votes)

Qu’est ce que je peux faire ? J’sais pas quoi faire ! Qu’est ce que je peux faire ? J’sais pas quoi faire ! Qu’est ce que je peux faire ? J’sais pas quoi faire !

#112
7.63 (28 votes)

When you have to shoot, shoot, don’t talk.


- Holly je suis amoureux de vous.
- … Et alors ?
- Et alors ?! Il n’y a pas de alors. Dès l’instant où je vous aime vous m’appartenez entièrement.
- Non. Personne n’appartient jamais à personne.
- Vous vous trompez.
- Jamais je ne laisserai qui que ce soit me mettre en cage.
- Mais, je ne parlai de vous mettre en cage, je parlai de vous aimer.
- C’est la même chose.
- Non erreur, Holly…
- Je suis pas Holly, je ne suis pas Irma d’avantage, j’ignore qui je suis maintenant je suis comme la chat. Nous sommes des anonymes, des oubliés, nous n’appartenons à personne et personne ne nous appartient. Nous n’appartenons même pas l’un l’autre.

#114
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Voulez-vous la paix, voulez-vous la guerre ? Si vous voulez la guerre, nous la ferons jusqu’à la ruine de l’une des deux nations !

#115
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Tu peux trembler Fantômas ! Tu peux bien avoir cent visages, tu n’auras jamais qu’une seule tête ! Ne la relève pas trop, elle finira par tomber, car elle me reviendra Fantômas et rira bien qui rira le dernier !

#116 7.62 (11 votes)

Imbécile ! Un ministre de la police qui ne veut pas qu’on le réveille est un jean-foutre !

#117
7.62 (11 votes)

Chaussez tous vos bottes de sept lieues ! Chaque heure de perdue est une chance de plus pour le malheur !

#118
7.62 (11 votes)

- Berthier, écrivez. Mes cent cinquante mille hommes, cantonnés de Brest à Ambleteuse, vont partir immédiatement. Ils vont, dans le plus grand secret, traverser la France et l’Allemagne, en trois semaines, en direction de Vienne.
- Mais il y a cinq cents lieues à pied !
- Oui ! Oui. Des souliers, des souliers, occupez-vous de ça tout de suite, Daru !

#119
7.62 (11 votes)

Franz Von Weyrother : Mi zametili…
Un général autrichien : Pardon ? Ich verstehe nicht russisch…
Franz Von Weyrother : Ah, richtig. Die ender ebe…
Un général russe : Ja nie panimayu ponemetski…
Langeron : Moi, mon général, vous savez que je suis Français et que je comprend mal l’allemand et le russe.
Franz Von Weyrother : Bon, alors je… j’espère que tout le monde comprend le français !
Tous : Oui ! Ja ! Da !

#120
7.62 (11 votes)

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