Kaakook

Top - Citations de films des années 2000

Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu que leur baiser consume.

#341 9.29 (483 votes)

Alice, tu as disparu comme tout le reste. Maintenant à qui d’autre parler, je suis perdue. Quand tu es partie… et qu’il est parti, vous avez tout emporté avec vous. Et son absence remplit mon horizon. Comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine. D’une certaine façon je suis heureuse, ma souffrance est la seule preuve de sa réalité, de votre réalité.

#342 9.29 (537 votes)

Il y a un petit truc que j’aimerai vous rappeler à tous les deux : notre meilleur ami Doug est certainement à plat ventre dans un fossé en ce moment, avec un camé plein d’amphet’ qui sodomise son cadavre !

#343
9.29 (256 votes)

Tous écoutez moi, ÉCOUTEZ ! Nos frères attendent que nous lancions l’offensive, que le black Pearl les guide et que vont-ils voir ? Une bande de rats effrayés à bord d’une vielle épave ? NON ! Ils ne verront que la liberté et des hommes libres et nos ennemis ne verront que les éclairs de nos canons et n’entendront que le fracas de nos sabres et sauront que vous et moi sommes capables de tout ! Par la sueur de notre front et la force de nos bras et le courage de notre cœur ! Chers amis, hissez nos couleurs…

#344 9.29 (214 votes)

Magnifique démonstration de ce qui saute aux yeux.

#345
9.29 (145 votes)

Dans ce cas tu ne serais surement pas venu. Donc tu n’es pas là. CQFD. T’es pas vraiment là !

#346 9.29 (174 votes)

- C’est terrifiant, c’est dangereux, et particulièrement quand je suis amoureux d’une cinglée dans ton genre.
- J’suis pas une cinglée !
- J’viens de dire que j’suis amoureux de toi et toi tout ce que tu entends c’est « cinglée », écoute, tu es définitivement névrosée.
- Non, la définition de névrosé c’est une personne qui souffre d’anxiété, d’obsession d’ordre compulsif et aussi de malaise physique émotif…
- La ferme ! Encore ; j’viens de te dire que j’suis amoureux de toi et toi tu es là à me faire une vraie leçon de vocabulaire.

#347
9.29 (186 votes)

À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-choses, et pourtant, nous jouissons d ’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel. Il est pourtant des circonstances où le critique prend un vrai risque : c’est lorsqu’il découvre et défend l’innovation. Le monde est souvent malveillant à l’encontre des nouveaux talents et de la création. Le nouveau a besoin d’amis. Hier soir, j’ai vécu une expérience inédite. J’ai dégusté un plat extraordinaire d’une origine singulière s’il en est. Avancer que son plat et son créateur ont radicalement changés l’idée que je faisait de la grande cuisine serait peu dire. Ils m’ont bouleversé au plus profond de mon être. Je n’ai jamais fais mystère du mépris que m’inspirait la devise d’Auguste Gusteau : « Tout le monde peut cuisiner ».
Mais ce n’est qu’aujourd’hui, aujourd’hui seulement que je comprends vraiment ce qu’il voulait dire. Tout le monde ne peut pas devenir un grand artiste. Mais un grand artiste peut surgir n’importe où. Il est difficile d’imaginer origine plus modeste que celle du génie qui officie maintenant chez Gusteau et qui est à nos yeux rien moins que le plus grand cuisinier de France. Je retournerai bientôt chez Gusteau, plus affamé que jamais.

#348
9.29 (172 votes)

Ce n’est pas faux de dire que le temps guérit toutes les blessures, au niveau physique la guérison commence instantanément et c’est notre corps qui fait le travail. Mais lorsqu’il s’agit des relations humaines certaines blessures se cicatrisent en une journée d’autres restent vives pendant toute notre vie. Parfois nous devons nous guérir nous même et parfois notre vraie tâche c’est de guérir les autres.

#349
9.29 (159 votes)

Ah je vois ! Vous n’avez pas réussi à avoir d’enfants alors vous avez adopté.

#350 9.29 (145 votes)

- L’avion ne sera réparé que quand la direction acceptera nos revendications : d’abord les congés maternité…
- Les congés maternité ? Mais !… Vous êtes des mâles…

#351 9.29 (89 votes)

Tout ce qui se passe à Vegas reste à Vegas. Sauf la syphilis cette merde te suivra toute ta vie.

#352
9.29 (271 votes)

- Vogue sur l’océan pour l’éternité !
- J’aime l’océan !
- Tu as toujours aimé l’eau.
- J’préfère le rhum, le rhum c’est bon !

#353 9.29 (414 votes)

Comment reprendre le cours de son ancienne vie, comment continuer, lorsque dans son cœur on commence à comprendre qu’on ne peut plus retourner en arrière.
Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser, des blessures si profondes qu’elles se sont emparées de vous.

#354 9.29 (187 votes)

C’est vrai. On aurait pu. Tu sais. On aurait pourtant pu s’aimer sans en crever. On aurait pu essayer d’être un couple d’une niaiserie rare, il paraît que l’amour rend con, on aurait eu une excuse. Se cacher dans des petits endroits secrets pour se bécoter, parce que bien sur, pas de sexe, ou alors ne surtout pas en parler, c’est méga tabou une vraie relation d’amour. On pourrait aussi devenir une bande de vaseux pathétique à se regarder dans le blanc de l’œil pendant une éternité, s’écrire des mots doux et se faire des sourires douteux de mièvrerie. Oh oui, ce que ça serait beau ça aussi… Mais j’avoue que ça n’aurait aucun intérêt. Quand on aime, c’est pour mourir d’amour. C’est pour se brûler les sens jusqu’au petit matin et regretter ensuite. C’est se cracher au visage et croire qu’on ne s’aime plus et se jeter l’un sur l’autre comme si le monde allait s’écrouler et qu’on voudrait pas crever ailleurs que dans nos bras. Dans nos étreintes de satin, à hurler à la pleine lune, nos maux d’amour. C’est se mentir et se dire qu’on arrête de se voir. C’est pleurer. Annoréxier sa vie de nos mensonges. Vomir l’hypocrisie de quand on se croise dans la rue. C’est se croiser et se sourire comme si de rien n’était. Tu vois, comme ça, ça serait le summum de l’hypocrisie, on pourrait presque dire de l’horreur, parce qu’on le ferait, par jeu, de s’arracher le cœur à pleines mains, avec une volonté terrifiante de souffrir plus que l’autre, de se mordre au cœur avec froideur comme si rien n’était vrai, ou plutôt comme si on avait voulu que rien ne soit vrai tout en sachant qu’on ne pourra que crever si c’était un rêve.

#355
9.29 (88 votes)

Tu n’es pas quelqu’un de mauvais. Tu es quelqu’un de bon à qui il est arrivé de mauvaises choses.

#356 9.29 (173 votes)

Donner un sens à ma vie, ça aurait été comme jouer la 5e symphonie de Beethoven avec les ongles sur un tableau.

#357
9.28 (1019 votes)

- Are you going to kill me now?
- I killed you ten minutes ago while you slept.

#358
9.28 (129 votes)

- Alors on mange où ce soir ?
- Ah ben j’sais pas j’te dirai demain.
- Ah ok, d’accord.

#359
9.28 (379 votes)

Ou tu sors ou je te sors, mais faudra prendre une décision.

#360
9.28 (450 votes)

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