Priam : Paris, j’approuve tes plans. Embarque-toi pour Sparte, j’ai confiance, je sais que tu ne les supplieras pas de faire la paix. Paris : Je veux seulement convaincre les Grecs qu’étant donné notre immense puissance, il faut traiter avec nous. Polydore : Moi, je les convaincrai ! Avec une centaine de vaisseaux de guerre, j’irai réduire en cendres la ville de Sparte ! Priam : Je te reconnais bien là, Polydore. Tu as toujours rêvé de guerres sans fin.
Polydore : Mon frère a oublié la courtoisie la plus élémentaire. Voudrais-tu nous dire comment nous devons te nommer, belle dame ? Hélène : Je me nomme… Polydore : Elle se nomme la Mort !
- Nos troupes ne viendront pas. - Pourquoi ? - Le conseil a secrètement décidé de fortifier l’Isthme de Corinthe et de ne pas aller plus loin. - Nous ne pouvons plus rester ici. - On le peut et on le doit. Nous n’avons pas reçu l’ordre de partir et nous avons un devoir envers la Grèce. Elle nous a suivis parce qu’elle a cru à notre parole. Nous n’y manquerons pas. Nous resterons et nous tiendrons. - Jusqu’à quand ? - Jusqu’à la victoire ou la mort.