Jasmine : Et quel était son crime ? Iago : J’peux plus respirer, Jafar ! Jafar : Mais, il avait enlevé la Princesse bien entendu ! Iago : Jafar je t’en prie Jafar, ouille ça fait mal ! Jasmine : Il ne m’avait pas enlevée, je m’étais enfuie ! Jafar : Oh, ciel, mais c’est affreusement contrariant, si seulement j’avais su !
Le fait de m’obliger à me marier me rendra au moins un service : quand je serai Reine, j’aurai enfin le pouvoir de me débarrasser de vous.
Jasmine : Jafar ! Jafar : Oh, Princesse ! Iago : Jafar, j’suis coincé ! Jafar : Que puis-je pour vous votre grandeur ? Jasmine : Les gardes ont arrêté un jeune homme au marché sur vos ordres ! Jafar : Mais votre père m’a chargé de maintenir la paix à Aggrabah, ce jeune homme était un criminel.
- Que voulez-vous dire ? - Hélas, je crains fort que la sentence ne soit déjà exécutée ! - Quelle sentence ? - La mort ! - Quoi ? - Par décapitation ! - Non ! - Oh, je suis excessivement navrée, Princesse ! - Comment avez-vous pu ?
- Bonne nuit, mon tendre Prince ! - Dors bien Princesse ! Ouais ! Pour la première fois de ma vie, il n’y a pas un seul nuage en vue !