Jolitorax : Il a l’air de bien les connaître ! Astérix : Oh oui, ce sont de vieux amis ! Le mousse : Capitaine, est-ce que c’est comme ça tous les voyages ? Barbe-Rouge : Tais-toi et nage !
Obélix : Mon petit chien n’aime pas la pluie, il faudrait faire un Tunnel sous la Manche. Astérix : Ah ça Obélix, c’est une idée à creuser, hé hé hé, à creuser hé hé hé ! Obélix : Bon ! Eh ben moi, je commence à avoir un petit creux énorme ! Jolitorax : Je vous emmène dans une auberge où vous pourrez prendre votre premier breton repas.
Jolitorax : Chanceux nous sommes ! Dans une heure, nous serons au village ! Je dis une romaine galère ! Stratocumulus : Rendez-vous, Par Jupiter ! Astérix : Jamais, Par Toutatis ! Stratocumulus : Comme tu voudras ! Envoyez ! Ha, ha, ha, on les a eus finalement !
Astérix : Mais qu’est-ce qui se passe ? Jolitorax : C’est le brouillard, on approche de chez moi ! Astérix : Alors rejoignons notre barque ! Obélix : Astérix, si on gardait la galère pour rapporter notre tonneau de potion magique au village breton ? Astérix : Chut, ne parle si fort, ils vont nous entendre ! Obélix : D’accord ! Astérix : Et puis notre barque est plus discrète ! Obélix : Il n’y a plus de Romains ? Un légionnaire romain : Si Monsieur, je suis là, ouille ! Obélix : Et Maintenant, il n’y a plus de Romains ? Un légionnaire romain : Non Monsieur ! Obélix : Ah, c’est bien ! Un légionnaire romain : Il n y’a plus de Gaulois ? Astérix : Il y’a souvent du brouillard comme ça en Bretagne ? Jolitorax : Oh non, seulement quand il ne pleut pas.
- Tu rames très bien Jolitorax. - Oh mais j’ai appris tout petit. Mon père était d’Oxford et ma mère de Cambridge.
Jolitorax : Excusez-moi, je demande votre pardon Messieurs, je suis Breton, mon nom est Jolitorax. Astérix : Jolitorax ! Mon cousin germain ! Jolitorax : Secouons-nous les mains ! Je viens demander votre aide pour lutter contre les Romains. Obélix : Les Romains ! Où sont-ils ? Où sont-ils ? Astérix : Ha, ha, ha, je te présente Obélix mon meilleur ami. Jolitorax : Comment allez-vous ? Secouons-nous les mains ! Ha ! Astérix : Non, Obélix ! Obélix : Bah, c’est ce Germain qui m’a dit ! Astérix : Ce n’est pas un Germain c’est un Breton et il ne parle pas tout à fait comme nous. Jolitorax : Splendide, splendide !
- Hein ? Qui est gros ? - Euh ! En Bretagne, nous conduisons sur le bon côté de la route, à gauche ! - Je suis pas gros, c’est compris ? Je suis un peu enveloppé ! Je ne suis pas gros, je ne suis pas gros, mettez-vous bien ça dans la tête : je ne suis pas gros.
Obélix : Ils ont des tonneaux ronds, vive la Bretagne ! Astérix : Obélix, tais-toi, tu vas nous faire remarquer ! Obélix : Tu me parles durement Astérix, tu ne m’aimes plus. Astérix : Oh mais oui, je t’aime, je t’aime mais si tu fais du bruit, tu vas attirer les patrouilles. Obélix : Je t’aime moi, Astérix et si une patrouille essaie de te faire du mal. Eh bien, tu verras. Jolitorax : Oh, une romaine patrouille !
- Ah, ah, nous voilà chez un ami ! Les Bretons parlent aux Bretons ! - Oh Jolitorax, quel bon vent t’amène ? - La ville est pleine de romaines patrouilles cette nuit et je cherche un abri pour mes amis gaulois. - Des Gaulois ? Oh Bonjour Messieurs ! Je suis de Massilia, je m’appelle Olive Escartefix, comme c’est trop compliqué et que je viens de Gaule, ils m’appellent Gaulix, c’est plus simple et…
Astérix : Nous devons retrouver nos tonneaux avant que les Romains ne découvrent la potion magique. Le palais est encore loin ? Jolitorax : Non, non, c’est à quelques pieds. Astérix : Quels pieds ? Jolitorax : Les Romains séparent la distance en pas et nous en pieds. Astérix : Des pieds ? Jolitorax : Je dis, il faut six pieds pour faire un pas. Obélix : Ils sont fous ces Bretons.
Obélix : Allez on rentre ! Astérix : Excusez-nous de ne pas rester à votre banquet mais il a faim, à charge de revanche les amis, Obélix j’arrive ! Jolitorax : C’est ce qu’on appelle aussi à la Gauloise !