Série - Docteur House

Vous pouvez pas me saouler et m’emmerder parce que je suis saoul, c’est comme larguer quelqu’un et l’emmerder parce qu’il n’a pas le moral, c’est indécent.

Supporter de souffrir pour quelqu’un a qui on tient. C’est un peu ça la vie non ?

- Dix-sept heures, le docteur House s’en va !
- Il est seize heures quarante-cinq.
- Oh, j’arrondissais un peu.

- La maladie évolue de la même façon que chez Joe, sauf que ça progresse beaucoup plus vite chez Foreman.
- Super ! C’est une anomalie. Les anomalies nous disent des choses, pourquoi ça va plus vite chez Foreman ? Qu’est ce qui est différent ?
- Foreman est noir.
- Quoi ? Ça fait combien de temps que vous me cachez cette information ?

On a trois possibilités dans la vie : être bon, s’améliorer ou laisser tomber.

[House est dans la baignoire de Wilson]
- Qu’est ce que tu fais ?!
- Du canoë !
- Tu as ta propre salle de bain !
- Il y a pas de canoë dans ma salle de bain !

Les patients veulent toujours des preuves, des garanties. On fabrique pas des machines à laver ici !

- Le bonheur vous fait peur !
- Qu’est ce que vous en avez à faire de mon bonheur ?

- Lequel tu congédies ?
- J’pense pouvoir convaincre Vogler que ce sera plus rentable de les garder tous les trois.
- Oui ça devrait même être assez facile, les milliardaires ne savent pas compter c’est bien connu.
- Oh ce sera plus rentable une fois que j’aurai mis la main aux fesses de Cameron, traité Foreman de macaque et Chase… j’lui mets la main aux fesses aussi.

- Vous avez vu sa poitrine ?!
- Juste pour un examen médical. J’ai écouté son cœur, il faisait « Greg-house… Greg-house… Greg-house ».

Je suis juste une conne qui sait ce qu’elle veut.

Votre taux de testostérone est même inférieur à celui de Justin Bieber, c’est dire !

On fait tous des conneries et on en paie tous le prix.

À quoi sa sert de dépendre des gens qui tôt ou tard finiront par vous laisser tomber…

Oh il faut qu’tu viennes, ils ont un satellite qui est braqué sur le vagin d’Cudy. J’leur ai dit que les risques d’invasion sont quasiment nuls mais…

Tout d’abord, ne pensez pas que vous pouvez minimiser le choc : dites-lui clairement qu’elle est condamnée. N’ayez pas peur des mots elle ne va pas lire dans vos pensées. […] Dans ses yeux, vous observerez un dernier reste d’espoir… Tuez-le. Ensuite, attendez. Laissez-lui un peu de temps pour intégrer la nouvelle. Dites-lui bien que vous serez avec elle jusqu’au bout. Laissez-la réfléchir, jusqu’à ce qu’elle vous regarde à nouveau et là, si ça vous semble opportun… Vous pouvez la toucher, poser sa main sur son bras […] qu’elle se sache toujours en contact avec un autre être humain.

Cameron : Ça n’est pas génétique, la mère n’avait aucun des symptômes.
Chase : Bien sur que si, admettons que les symptômes soit la présence de poils pubiens et les menstruations…
Cameron : Alors la, n’importe quoi ! Si avoir ses règles est un signe de tumeur cérébrale il est temps que je fasse une chimio d’urgence !
House : Alors la, n’importe quoi, vous êtes bien trop maigre pour avoir vos règles.

Ah ! J’adore quand vous faites la conversation tout seul, c’est comme la musique de l’ascenseur, c’est extrêmement reposant.

- Appelez votre mère !
- Vous êtes qui ? Ma mère ?

Ce ne sont pas les mots mais les actes qui comptent.