Personnage - Rei

- Tu pensais sérieusement que je allais rester planté là sans assurer mes arrières ? Ha ha ha, je ne suis pas stupide, je n’ai pas l’orgueil de Chevalier borné.
- Que dis-tu ?
- Ha ha ha, tu n’auras qu’à lire le journal local.

- Ken, cet homme n’est pas ton frère, c’est un usurpateur !
- Bof !

- Ken, qu’est-ce que tu fais là ?
- J’aiguise mes couteaux !
- Il faut toujours que tu aiguises tes couteaux !

Alors, on est en panne d’essence ?

Je serais ravi de te donner une leçon particulière.

- Dis-moi, Rei ! As-tu vu cette petite étoile qui se situe à côté de la Grande Ourse !
- Oui, et alors !
- Parfait, ça va devenir intéressant !

Et des bras sans mains, ça ne sert plus à rien !

Kenshiro : Alors c’était la raison !
Amiba : Absolument, il m’a ridiculisé et humilié devant tout le monde, il était considéré comme un sauveur et maintenant il se fait passer pour un véritable assassin et tout le monde sait qu’aujourd’hui, Hokuto enseigne un art diabolique.
Kenshiro : Tu as souillé le nom de nos maîtres, tu vas payer !
Rei : Tu es devenu fou ! En faisant cela, tu n’as fait que provoquer le courroux de Ken.
Amiba : Tais-toi, Rei ! Tu ne peux pas me comprendre parce que je suis génial et je suis devenu invincible et grâce à mes cobayes, j’ai découvert des secrets des centres nerveux sur des points névralgiques.

Sais-tu à qui appartenait ce voile ? Il appartenait à ma jeune sœur Irié ! Il était immaculé de blanc et maintenant il est immaculé de rouge sang. Ça s’est passé la veille de son mariage au moment où elle allait enfin connaître le bonheur, c’était pendant la nuit, un bande de pillards ont attaqué notre village et se sont introduits dans notre maison, ils ont tué mes parents et capturé ma sœur. J’ignore qui était cet homme mais avant de rendre l’âme, mon père m’avait parlé que leur chef avait sept cicatrices sur la poitrine. Je me suis juré que je ne mourrai pas avant d’avoir retrouvé, tué cet homme aux sept cicatrices et retrouvé Irié. Écoute, tu dois sans doute penser qu’elle est morte n’est-ce pas eh bien moi je suis sûr du contraire, qu’elle est vivante et m’attend quelque part oui j’entends ses cris et ses pleurs.

- Penses-tu que tu pourras la guérir ?
- Oui, elle guérira !

Ken, bien que tu portes sept cicatrices sur la poitrine, je sais que tu es incapable de commettre des actes aussi monstrueux.