Dupond : C’est ça, vous avez lâché votre château… Dupont : Pour courir vers le râteau ! Nestor : Oui !
- Graine de vaurien, je vais te flanquer une de ces corrections ! - Monsieur, c’est épouvantable ! - Tout à l’heure Nestor, tout à l’heure ! - Monsieur, tous ces Messieurs se sont installés dans le grand salon !
- Bougre de phénomène de moule à gaufres, vous n’avez pas fini de faire le zouave mais voyons Nestor, ouvrez donc cette porte ! - Que Monsieur veuille bien m’excuser mais votre invité le jeune Monsieur Abdallah s’amuse à sonner continuellement et à se cacher dès que j’arrive pour ouvrir la porte. - Cette fois-ci, c’est trop, Nestor allez me chercher la lance d’arrosage ! Allez-y, Nestor ouvrez !
- Et comment va le capitaine ? - Ah, Monsieur Tintin, il a vieilli de dix ans depuis que le malheur est arrivé. Et de vôtre côté, avez vous des nouvelles du professeur ? - Aucune Nestor ! C’est à croire que ce pauvre Monsieur Tournesol s’est volatilisé ! - Mon Dieu, comme Monsieur va être déçu !
Tintin : Professeur, rien de cassé ! Le professeur Tournesol : Si, si, un morceau d’au moins 20 centimètres ! Le capitaine Haddock : Cette satané marche ! Nestor ! Nestor : Oui, Monsieur ! Le capitaine Haddock : Avez-vous appelé le marbrier ! Nestor : Oui, Monsieur, je lui ai téléphoné ! Il a promis qu’il passerait demain dans la matinée !
- Oh Monsieur, que je suis heureux de vous revoir ! - Nestor, vous avez bien mauvaise mine ! - Je crains que le séjour de Monsieur Abdallah ne m’ai fait aucun bien mais enfin il est parti, il vous a d’ailleurs laissé un mot.