Patricia, mon petit… Je voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L’homme de la Pampa parfois rude reste toujours courtois mais la vérité m’oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu !
J’ai connu une polonaise qui en prenait au petit déjeuner… Faut quand même admettre que c’est plutôt une boisson d’homme.
- Tu sais pas ce qu’il me rappelle ? C’te drolerie qu’on buvait dans une tite taule à Bhien noha, pas très loin de Saïgon. Les volets rouges… et la taulier une blonde comac… comment qu’elle s’appelait déjà ? - Lulu la nantaise.