Kaakook

Personnage - Xavier

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Répliques de Xavier (10)

Quand on arrive dans une ville, on voit des rues en perspective. Des suites de bâtiments vides de sens. Tout est inconnu, vierge. Voilà, plus tard on aura marché dans ces rues, on aura été au bout des perspectives, on aura connu ces bâtiments, on aura vécu des histoires avec des gens. Quand on aura vécu dans cette ville, cette rue on l’aura prise dix, vingt, mille fois. Au bout d’un temps cela vous appartient parce qu’on y a vécu.

9.22 (92 votes)

- C’est quoi ce bordel avec l’amour là ? Comment ça se fait qu’on devient dingue à ce point ? T’imagine le temps qu’on passe à s’prendre la tête la-dessus ?
Quand t’es seule tu te plains: est-ce que je vais trouver quelqu’un ? Quand t’as quelqu’un: est-ce que c’est la bonne ? Est-ce que je l’aime vraiment et est-ce qu’elle m’aime autant que moi je l’aime ? Est-ce qu’on peut aimer plusieurs personnes dans sa vie ? Pourquoi on se sépare ? Est-ce qu’on peut réparer les chose quand ça part en couille ? Toutes ces questions à la con qu’on se pose tout le temps ! … Pourtant on peut pas dire qu’on y connaît rien ! On est préparé putain : quand on est petit on lit des livres d’amours, on lit des contes, on lit des histoires d’amours, on voit des films d’amour ! L’amour, l’amour, l’amour !
- Et si tu la rappelais juste ?

9.18 (882 votes)

J’ai repensé à toutes les filles que j’avais connu, avec qui j’avais couché ou même que j’avais seulement désiré. Je me suis dit qu’elles étaient comme des poupées russes. On passe sa vie entière à jouer à ce jeu. On est curieux de savoir qui sera la dernière, la toute petite qui était caché depuis le début. On ne peut pas l’attraper directement, on est obligé de suivre le cheminement. Faut les ouvrir l’une après l’autre en se demandant à chaque fois « est-ce que c’est elle la dernière ? ».

9.15 (308 votes)

- Tu es le mec parfait.
- Tu te trompes. Pas du tout.
- C’est ce que je dis, tu es le mec parfait.
- Pourquoi t’es si gentille ?
- Je ne suis pas gentille. Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée en 26 ans.
- Je ne suis pas sûr d’être celui dont tu parles
- À ton avis ? Tu n’es pas parfait, je sais. Tu as des tas de problèmes, de défauts, d’imperfections. Mais qui n’en a pas ? Seulement, moi, je préfère tes problèmes. Je suis amoureuse de tes imperfections. Je les adore. Avant je me coltinais Ed. Toi à côté c’est les vacances. La plupart des filles craquent pour ce qui est beau. Elles ne voient que ça, ne veulent que ça. Je ne suis pas comme ça. Je ne vois pas que la beauté. Je craque pour d’autres trucs. J’aime ce qui n’est pas parfait. Je suis comme ça.

9.03 (134 votes)

Je choisis un avenir sans débouchés. Je vais faire ce que j’ai toujours voulu faire. Tout paraît clair, simple, limpide à présent. Je vais écrire. Tout paraît clair, simple, limpide à présent.
Je ne suis pas ça. Je pensais étais comme ça mais… Ni ça. Je ne suis plus ça. Ni ça. Ni ça. Ni ça. Ni ça. Mais je suis tout ça. Je suis lui, lui et lui, et lui, et lui aussi et lui aussi.
Et je suis lui aussi. « Ze veux écrire des livres » Et puis lui, lui je veux pas le décevoir.
Je suis elle, elle, elle, et elle aussi. Je suis français espagnol, anglais, danois. Je suis pas un mais plusieurs. Je suis comme l’Europe, je suis tout ça. Je suis un vrai bordel. Je peux enfin commencer à tout vous raconter.
Tout à commencer là, quand mon avion a décollé. Non, non, oh la la, c’est pas une histoire d’avion qui décolle, c’est pas une histoire de décollage, comment dire… Après tout si, c’est un histoire de décollage. Tout a commencé là…

8.89 (89 votes)

Dans le monde de Martine on avait des animaux, on bouffait ce qu’on faisait pousser, on construisait ses vêtements, sa maison. À la ferme la vie était simple pour Martine. Des fois je me demande pourquoi on a quitté le monde de Martine.

8.04 (41 votes)

Tout a commencé là, quand mon avion a décollé… Oh la la c’est pas une histoire d’avion qui décolle… Ou plutôt si c’est une histoire de décollage… Je peux enfin commencer à tout vous raconter… tout a commencé là…

8 (35 votes)

Quand j’étais petit j’étais blond, et je voulais être écrivain.

7.07 (31 votes)

Célia c’est l’équivalent en femme de la rue aux dimensions idéales. On est pas longtemps sur terre alors forcément au début on a envie de vivre dans cette rue là… J’aurais adoré passer des heures à regarder une fille comme ça, juste la regarder vivre, la regarder marcher, juste être bercé par le balancement de sa jupe, juste être enivré par le mouvement du tissu qui bouge sur son corps.

6.97 (23 votes)

En tout cas moi je serais vous je m’appellerai.

6.88 (22 votes)

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