Personnage - Bernard Frederic

Georges Brassens ? Le moustachu qui fait rimer « couille » avec « nouille » ? J’ai perdu ma couille au fond du ravin.

Reviens Véro c’était juste un petit coup de biiitte !

Un cœur qui bat, un nez qui flaire, une décision qui tombe, c’est Bernard Frédéric !

Couscous, c’est l’ignoble pourceau qui n’arrêtes pas d’bouffer, et que je vous demande de respecter comme moi-même. Car il est et restera le meilleur Michel Polnareff de sa génération…

Putain t’as encore faim ? Mais tu viens de t’enfiler un seau d’frites ! T’as l’ténia ou quoi ?

Et tu peux prévenir le chef que Bernard Frédérique a l’intention de camper ici ! Et si ch’ui malade, ch’ui malade chez toi ! J’ai fait Bernard Frédérique toute ma vie j’aurai aucun mal a faire Carlos une nuit !

Elle a les yeux qui crient « braguette » !

J’ai une queue de dragon au cul ? Non ! Alors retour assiette !

Écoute mon p’tit ; si j’avais été Sardou, tu te serais déjà pris un coup de latte dans la gueule… Interview terminée !

Claude a donné un sens à ma vie et aujourd’hui avec le public, j’essaie de donner un sens à la sienne.

- En 62, Claude écrit une chanson, je t’aide, c’est une saison… J’attend !
- Heu… L’automne ?
- Ouais, j’t’en foutrais des automnes ! Aller casses-toi t’iras passer l’hiver ailleurs…

- Faites un tour sur vous même… [Elle tourne] Engagée.
- Déjà ? Mais j’ai à peine fait ma convention de stage !
- Non, c’est l’artiste qui vous parle.

Écoute-moi bien, Monsieur « y’a du choix » ! Tu vas me mettre de la viande, et avec un « S » à viande !