Top - Citations de films de l'année 1978

- Wollen sie mit mir tanzen ?
- Ya !
- Ohhh….

- Miss Teschmacher, le jour de mes six ans, je suis venu voir mon père et il m’a dit…
- « Fous-le-camp ».

- Doody, comment tu m’trouves ?
- Oh, tu ressembles à un magnifique ananas blond !

Il s’est sauvé ! Il s’est sauvé ! Le Mal est en liberté !

- Vous félicitez le plus grand criminel de tous les temps ? Vous ne pouvez pas dire « brillant » ? Non, ce serait trop banal, je vous l’accorde. Charismatique, génie surdoué.
- Moi, je dirais « tordu ».

Les étoiles, brillent dans le ciel comme un tapis de pierres précieuses sur le velours sombre de la nuit.

Remballe tes salades mec.

- Is that how a warped brain like yours gets its kicks? By planning the death of innocent people?
- No, by causing the death of innocent people.

On ne va quand même pas me dire que c’est un coup de lune ça !

Les hommes, c’est des rats. Non de la vermine de rat, non de la vermine de vermine de rat. Un chien qui se respecte se sentirait déshonoré de mordre dedans.

Je ne considère pas cela comme un abandon, c’est une avance stratégique fort émouvante.

Monsieur Neary, je vous envie.

Les âmes les plus sombres ne sont pas celles qui choisissent de se terrer dans l’enfer des abysses, mais celles qui décident de se libérer des tréfonds pour se glisser en silence parmi nous.

La première fois que je l’ai vu, il y a de 15 ans de cela, on m’a dit que cet enfant n’avait plus ni raison, ni conscience. Qu’il ne réagissait plus aux choses les plus rudimentaires comme la vie ou la mort, le bien et le mal, le vrai et le faux. J’ai vu cet enfant de six ans au visage mort, pâle, où ne se peignait aucune émotion avec d’immenses yeux noirs, les yeux du malin ! J’ai passé huit ans à vouloir trouver le contact et puis sept autres années à lutter pour qu’on ne le relâche pas car j’avais la certitude que ce qui habitait cet enfant, c’était purement et simplement… le mal.

- Je te demande si tu trouves ma femme intéressante, si elle est à ton goût, si elle se rapproche un peu de ton idéal féminin.
- J’ai pas d’idéal féminin.
- Bravo, moi non plus. Mon idéal c’est quand elle sourit. Manque de bol, elle sourit plus.

- Madame, excusez-moi, il faut absolument que je vous parle. Il m’arrive quelque chose de terrible. Vous avez 30 secondes ?
- Oui !
- Regardez-moi bien. Est-ce que j’ai la tête d’un idiot ?

- La seule chose que je supporte mal, c’est leurs divagations. Quand ils sont partis dans leur délire.
- Vous n’avez aucun souci à vous faire. Celui-là n’a pas dit un mot depuis au moins 15 ans.

[montrant ses seins] See anything you like?

Stanley, you see this ? [Il montre une balle] This is this. This ain’t something else. This, IS THIS.

- Comprenez bien que la chose est un monstre, et la chose ne doit pas être sous-estimée.
- Ne pouvons nous pas considérer la chose comme un homme ?
- Vous ne savez pas ce que vous dites !
- Votre compassion force le respect, docteur !