Top - Citations de films de l'année 1981

Si on peut plus péter sous les étoiles sans faire tomber un martien. Il va nous en arriver des pleines brouettes.

Tu sais, « pour toujours », c’est un temps très très long. Mais le temps a une façon bien à lui de changer les choses…

On sait se tenir. On ne pète que dehors. On a déjà été au restaurant !

Et bah mes cadets, et bah mes petits frères, ça commence bien.

- Qu’est ce qu’il vous arrive encore ?
- Je ne sais pas je m’enfonce.
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas je vous dis.
- Vous allez arrêter de faire le pitre quand je vous parle ?
- Mais je ne fais pas le pitre. Le terrain se dérobe sous mes pieds je m’enfonce.
- Et pourquoi je m’enfonce pas moi ?
- Sans doute parce que vous êtes sur une bande de terrain dure et moi sur une bande de terrain meuble. Si on n’avait pas quitté la route, ça serait pas arrivé, c’est vous qui avez voulu couper.
- Et vous vous enfoncez sans réagir ?
- Si je réagis je m’enfonce encore plus, c’est bien connu, faut pas se débattre dans les sables mouvants.
- Perrin, il n’y a pas de sables mouvants signalés dans cette région.
- Et bien si vous voulez mon avis, il est temps de les signaler !

- Heu… je ne te permets pas de me parler sur ce ton là… Si j’avais pas pété tu serais pas là ! Parce que quand je pète moi la Denrée arrive tout de suite dans sa soucoupe volante !
- Et ben t’as du en vider des tonneaux pendant que j’étais pas là !

- Mais, enfin, la Francine, ça se fait d’arranger sa femme !
- Le pot de chambre sur la tête.

C’est quand même ben foutu les étoiles ! Oh il parait qu’il y en a des milles et des milles ! Écoute dont voir là ! [pet du bombé]

Les putes sont des femmes qui vous donnent beaucoup de choses pour relativement peu d’argent.

- Qu’est-ce que vous en pensez ?
- J’en pense que vous devriez chercher un autre Président des États-Unis.

Nous ne faisons que passer à travers l’Histoire. Ceci, ceci est l’Histoire.

- Je pratique les arts martiaux : Judo, Haïkido, Karaté. La première chose qu’on nous apprend, c’est le contrôle. Un type me traite d’abruti : je ne cogne pas, je le regarde et je m’en vais.
- Eh ben tire toi alors !
- [Petit rire] Vous avez de la chance…
- Gros connard !
- Vous avez de la chance.
- PD !
- [inspiration… puis longue expiration, se retourne vers Campana] Je suis arrivé à un contrôle total, on s’en va !!

Ces jeunes, ils sont tous les mêmes, on ne peut rien leur dire.

Les Français aiment bien écrire à la police. Qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ?

Je veux le prépuce de cet homme !

Vous voulez parler à Dieu ? Alors allons lui parler ensemble. Je n’ai rien de mieux à faire ce matin.

- Farges, vous nous avez dit l’avoir vu à la morgue, en somme vous êtes le dernier à l’avoir vu vivant.
- Oui mais quand j’ai dis ça, j’avais un flingue là… Vous savez c’que c’est qu’d’avoir un flingue là… c’est pas de l’informatique, ni des compte rendus mais un flingue !

Pendant dix minutes, vous me faites tous le Musée Grévin ! Allez, tout le monde lève une jambe ! Les mains sur la tête ! Plus personne ne bouge !

- À Lourdes, mon pote, tu saisis ?
- Écoutez, non euh, vraiment, euh, arrêtez de m’appeler « mon pote », c’est agaçant à la fin.
- D’accord, d’accord mon pote.

- Pierrot a rejoint Colombine, Arlequin s’en va sur la pointe des pieds !
- T’es malade, y a deux gars là dehors, y vont t’tomber d’ssus !
- Aucune importance… J’ai c’qui s’appelle l’effet de surprise.