Top - Citations de séries des années 2010

Pourquoi t’inquiéter d’aujourd’hui alors que tu pourrais t’inquiéter de ton lendemain ?

T’es petite mais t’es balèze !

On n’offre jamais rien sans attendre quelque chose en retour.

- I love you… Betty Cooper.
- Jughead Jones, I love you.

Always and forever.

J’ai beau essayer, j’arrive pas à rester loin de toi.

Je sais pas ce qui est le plus pitoyable, les commères qui répandent les rumeurs ou les imbéciles qui écoutent les rumeurs.

La souffrance, la haine et l’envie, c’est sûrement ce qui me représente le mieux. Si vous m’enlevez ça, il ne me reste plus grand chose.

- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je fais rien Danny ! Tu es simplement en train de rêver.
- Pourquoi est-ce-que tu fouilles dans mes affaires ?
- Oui, mais seulement dans le rêve OK ? Rêve ! Rêver !
- Pourquoi est-ce que je rêverais de toi en train de fouiller dans mes affaires ?
- Je ne sais pas, Danny, OK ? C’est TON rêve ! Prends-en les responsabilités ! Ferme-la et rendors-toi !

Ne me presse pas de te laisser partir, ni de me retrouver loin de toi. Car où tu iras, moi aussi j’irai. Ton peuple sera mon peuple, ton dieu sera le mien. Où tu mourras je mourrai, et je serai enterré. Que l’ange fasse un signe et qu’ainsi il ajoute qu’il n’y aura que la mort qui me sépare de toi.

Quand je mens, ça se voit pas sur mon visage. Ca sera un atout en politique.

Aria : Ça serait génial si on pouvait choisir l’âge qu’on veut avoir et le garder tout le temps.
Alison : Le seul moyen d’y arriver c’est de mourir jeune, quand on a encore un beau corps.
Emily : Rigole pas avec ça…
Alison : Je rigole pas du tout, bin quoi c’est vrai ! Vous vous êtes jamais dit que ça serait délicieusement tragique de mourir de façon tout à fait mystérieuse ? À quel point ça serait grandiose ?
Spencer : C’est vraiment comme ça que tu voudrais partir ?
Alison : Pas tout de suite.
Hanna : Ne parle pas comme ça !
Aria : Oui, c’est horrible.
Alison : Ça n’a rien d’horrible, c’est ce qu’on appelle l’immortalité mes chéries !

Un agent de police : On ne bouge plus !
Sherif Stilinski : C’est bon, on se calme, je connais ce petit voyou, il est à moi.
Stiles : [Stiles respire bruyamment] Salut papa, ça va ?
Sherif Stilinski : Si je comprends bien, t’écoutes tout les appels que je reçois ?
Stiles : Nan… J’écoute pas les plus chiants.
Sherif Stilinski : Et ou est ton complice habituel ?
Stiles : Qui ? Scott ? Il est chez lui, il voulait dormir, il a dit qu’il voulait être en forme pour la rentrée demain, y’a que moi… Dans les bois… Seul
Sherif Stilinski : Scott t’es là ? [Scott se planque derrière l’arbre] [En parlant à Stiles] Très bien jeune homme, je vais te raccompagner à ta voiture et ensuite toi et moi on va avoir une petit discussion sur ce qu’on appelle l’atteinte à la vie privée.

Si tu touches à un seul cheveux de cette parfaite crinière blond vénitien je t’arrache tous tes poils de loup-garou un par un et j’en fais un manteau de fourrure pour son anniversaire.

- Je sais que je suis sur la liste !
- Ouais, c’est vrai…
- Alors combien ?
- Quoi ?
- Combien je vaux ?
- Quatre… T’es sur que ça va ?
- Ouais ! Scott en vaut 25, Kira six, ils vont vous tuer bien avant moi !
- Il y a du progrès… je vous jure qu’il y a du progrès.

Un homme qui ne se bat pas pour ce qu’il veut mérite ce qu’il a.

Celui qui cherche la vengeance devrait creuser deux tombes.

- Let’s the next commander protect you…
- I Don’t want the next commender… I want youu.

C’est ton destin, c’est toi qui va rétablir les fins heureuses.

- N’hésitez pas à me dire en face ce que vous ressentez
- On t’aime pas. Ferme-la et aide-nous.
- Bien !