Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1950

- C’est par ici qu’il est passé.
- Qui donc ?
- Un certain lapin.
- Vous en êtes sûr ?
- Sur de quoi ?
- Qu’il est passé par là.
- Qui donc ?
- Le lapin.
- Quel lapin ?

#1
9.23 (210 votes)

Le chapelier fou : Pour quoi un corbeau ressemble-il à un grain de sel ?
Alice : Mais oui c’est vrai.
Le lièvre de mars : Qu’est ce que vous dites ?
Alice : Pourquoi un corbeau ressemble-il à un grain de sel ?
Le chapelier fou : Mais qu’est ce qu’elle raconte ?
Le lièvre de mars : Mais c’est elle qui a un grain !

#2
9.07 (98 votes)

- Mais tu ne comprends pas ! Je suis un homme.
- Et alors ? Personne n’est parfait.

#3
9.01 (121 votes)

Si vous avez de la peine, si la vie est méchante avec vous, réfugiez-vous au cœur de la forêt, elle ne vous décevra jamais. Chaque plante, chaque fleur, chaque arbre, chaque animal sont la preuve vivante de la toute puissance de Dieu et la forêt vous redonnera courage.

#4
8.26 (76 votes)

Je pense à toi sans cesse, tu es mon bonheur et toute ma joie, je t’aime.

#5
8.24 (41 votes)

Sésame, ouvre-toi !

#6
8 (20 votes)

Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Comment me serais-je doutée que cette ville était faite à la taille de l’amour ?
Comment me serais-je doutée que tu étais fait à la taille de mon corps même ?
Tu me plais. Quel événement. Tu me plais.
Quelle lenteur tout à coup.
Quelle douceur.
Tu ne peux pas savoir.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
J’ai le temps.
Je t’en prie.
Dévore-moi.
Déforme-moi jusqu’à la laideur.
Pourquoi pas toi ?
Pourquoi pas toi dans cette ville et dans cette nuit pareille aux autres au point de s’y méprendre ?
Je t’en prie…
(…)
Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Cette ville était faite à la taille de l’amour.
Tu étais fait à la taille de mon corps même.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
J’avais faim. Faim d’infidélités, d’adultères, de mensonges et de mourir.
Depuis toujours.
Je me doutais bien qu’un jour tu me tomberais dessus.
Je t’attendais dans une impatience sans borne, calme.
Dévore-moi. Déforme-moi à ton image afin qu’aucun autre, après toi, ne comprenne plus du tout le pourquoi de tant de désir.
Nous allons rester seuls, mon amour.
La nuit ne va pas finir.
Le jour ne se lèvera plus sur personne.
Jamais. Jamais plus. Enfin
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Nous pleurerons le jour défunt avec conscience et bonne volonté.
Nous aurons plus rien d’autre à faire que, plus rien que pleurer le jour défunt.
Du temps passera. Du temps seulement.
Et du temps va venir.
Du temps viendra. Où nous ne saurons plus nommer ce qui nous unira. Le nom ne s’en effacera peu à peu de notre mémoire.
Puis, il disparaîtra tout à fait.

#7
7.92 (43 votes)

- C’est quoi ces tâches de sang sur vos guêtres ?
- Je me suis coupé en me rasant ce matin.
- Vous vous rasez avec vos guêtres ?
- Je dors même avec mes guêtres.

#8
7.8 (40 votes)

- Je suis Osgood Fielding III.
- Et moi Cendrillon II !

#9
7.75 (30 votes)

- Mais, mais vous êtes un chat !
- Oui, un chafouin !

#10
7.75 (30 votes)

- Bien dit.
- Et bien répété.
- Et bien joué.

#11
7.73 (12 votes)

N’ayez pas peur madame, c’est de l’argent honnête ! Et honnêtement gagné !

#12
7.62 (11 votes)

Que leurs dépouilles restent à pourrir sur le champ de bataille !

#13
7.62 (11 votes)

Tu as combattu pour de l’or, gagne-le !

#14
7.62 (11 votes)

Bande de fainéants !

#15
7.62 (11 votes)

Grec ou Perse, on appartient à sa patrie d’origine.

#16
7.62 (11 votes)

- Dites-moi jeune homme, qu’est-ce que c’est que ce déploiement, cette fantasia matinale ? Vous allez tout de même pas recommencer avec vos tremblements de terre ?
- J’vous emmerde. On pose le gaz.
- Le gaz ! Y’a six mois, c’était l’eau, demain ça s’ra l’téléphone. Vous n’pouvez pas grouper tout ça une fois pour toutes, non ?
- Bah c’est une question de crédits. C’est comme la guerre, ça, mon bonhomme.

#17
7.62 (11 votes)

La liberté, c’est d’faire c’qu’on veux, y compris d’aller en taule quand on en a envie !

#18
7.62 (11 votes)

- Ça m’a l’air d’une gentille personne, votre dame.
- Ah, ça pour être gentille, elle l’est. Elle l’est même un peu trop, ça. Elle est bien serviable. Tenez, monsieur, moi qui vous parle, j’l’ai pincée huit fois en flagrant-délit, m’sieur, huit fois, et encore c’étaient des coups de veine. En réalité, pour savoir où j’en étais, j’avais qu’à compter mes clients plus le barman et le garçon. Bah si vous totalisez, dans une affaire qui travaille bien, ça va chercher du monde. Traînée va ! Bah c’est ça qui m’amène chez les affreux. On a beau dire, la moralité, ça passe avant les bénéfices.

#19
7.62 (11 votes)

- Monsieur Félix, vous allez foutre le camp, je ne peux pas supporter votre tronche.
- Il ne faut pas se fier au physique des gens.
- Avec vous, si. Vous avez la gueule de travers et la mentalité biscornue. Vous êtes synchrone.

#20
7.62 (11 votes)

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