Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1950

- Là-haut, il y a quelqu’un qui marche. J’ai entendu des pas, des pas humains.
- Madame, depuis le commencement des temps, toutes les femmes entendent des pas, quelque part.
- J’ai l’ouïe particulièrement fine.
- Toutes les femmes ont l’ouïe particulièrement fine. La mienne entendait des rats dans le grenier. Généralement à la veille d’une de mes conférences importantes. J’allais dans les combles armé d’un balai…

#41
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- Tant que nous serons victorieux, tu ne pourras pas t’évader. Si nous sommes vaincus, tu couleras avec ce navire, enchaîné à ton aviron.
- Je ne croirai jamais que Dieu m’a gardé vivant pendant ces trois années pour que je meure enchaîné.
- C’est vraiment une foi étrange et obstinée que celle qui permet à un homme de croire que notre existence a un but précis. Un homme normal aurait depuis longtemps perdu cette croyance.
- À ton exemple, qu’est-ce qui te l’a fait perdre ?

#42
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Garde… détache le 41.

#43
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Messala : Regarde !
Drusus : C’est magnifique.
Messala : Et offert par quelqu’un que je n’ai jamais vu.
Ben-Hur : Tu te trompes, Messala.
Messala : Judah ? Par quelle magie est-ce que tu portes le nom glorieux d’un consul de Rome ?
Ben-Hur : C’est toi, le magicien, Messala. C’est toi qui m’a condamné aux galères.

#44
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- Je dois traiter Messala à ma façon.
- Et ta façon est de l’tuer. Je vois cette chose terrible dans ton regard, Judah Ben-Hur, mais quoi que Messala ait pu te faire autrefois, tu n’as pas le droit de lui ôter la vie, il sera inévitablement puni.

#45
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Tue-moi et ta mère et ta sœur mourront aujourd’hui crucifiées toutes les deux sous tes yeux ! Qu’attends-tu, Judah ? Tue-moi !

#46
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Eh toi ! J’ai dit « Pas d’eau pour cet homme ! »

#47
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- L’homme qui t’accompagne, Quintus Arrius, qui est-ce ?
- Celui qui a permis, divin empereur, que je revienne ici te servir.
- C’est tout ce que tu sais sur cet homme ?
- Non. On l’a accusé d’avoir attenté aux jours du procurateur de Judée mais il était innocent.
- Je l’espère. Ce serait une étrange incohérence chez cet homme d’essayer de tuer mon procurateur et de sauver la vie de mon consul.

#48
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C’est Judah Ben-Hur que j’aimais. Qu’a-t-il pu advenir de lui ? Tu ressembles maintenant à ce que tu t’étais juré de détruire. Tu rends le mal pour le mal. La haine change ton cœur en pierre. Ton visage est pour moi celui de Messala ! Je t’ai perdu, Judah…

#49
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- L’heure a sonné, Judah. C’est le moment de régler nos comptes.
- Tu as raison, l’heure a sonné.

#50
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Citoyens, je vous accueille à ces jeux au nom de Tibère, notre divin empereur. Nous les dédions à sa plus grande gloire et à la gloire éternelle de Rome qui pour vous est la seule patrie. Honorons ceux qui vont courir pour nous aujourd’hui. Ils sont venus ici d’Alexandrie, de Messine, de Carthage, de Chypre, de Rome, de Corinthe, d’Athènes, de Phrygie et de Judée. Pour le meilleur d’entre eux, le laurier de la victoire. La course commence. Ave César !

#51
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Partout où il y a grandeur, grandeur du souverain ou du pouvoir, et même de la pensée et des passions, l’erreur elle aussi est grande. L’homme progresse également par ses fautes.

#52
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Tout continue, tout continue, Judah. La course… la course n’est pas achevée…

#53
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Relâche les serviteurs.

#54
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- Viens.
- Où ?
- À Tyr.
- À Tyr ? Mais je n’ai même pas été jugé. Je mourrai aux galères sans seulement avoir été jugé ? On ne me laisse même pas m’expliquer ! Il n’y a pas un mot de vrai dans cette accusation ! Ma mère, ma sœur ? Que sont-elles devenues ? Où sont-elles ?
- Attachez-lui les mains.
- Attends. Au moins, dis-moi si elles sont en vie !
- Je ne peux rien te dire.

#55
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- Elle a dit qu’elle se tuerait si je la touchais !
- Mais elles disent toutes ça mais, en fait, ça veut plutôt dire qu’elles se tueront si on ne les touche pas !

#56
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- Mais où m’emmenez-vous ?
- Voir Erik pour la dernière fois !

#57
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Grandgil : Mais, des gens qui n’ont pas plus de conscience que ça, moi, ça me révolte. Saloperie, va ! Je te foutrais tout ça en prison, moi ! Parfaitement, pas de pitié, allez, en prison ! Voyous ! Anarchistes ! Mauvais Français ! Et puis d’abord, vos noms, âge, situation de famille et tout ! Allez hop, déballez ! Hop !
Alfred Couronne : Couronne Alfred, né le vingt-trois septembre quatre-vingt-trois à Aubenas, Ardèche. Et Couronne Lucienne, née Greneil, quarante-neuf ans, sans enfant. Employés à la Halle aux Vins jusqu’en mille neuf cent trente sept. Condamnation, néant. Situation militaire…
Grandgil : Suffit, j’en sais déjà trop ! Non mais regarde-moi le mignon là, avec sa face d’alcoolique et sa viande grise ! Avec du mou partout, du mou, du mou, rien que du mou ! Mais tu vas pas changer de gueule un jour toi, non ? Et l’autre là, la rombière. La gueule en gélatine et saindoux. Trois mentons, les nichons qui déballent sur la brioche. Cinquante ans chacun ! Cent ans pour le lot ! Cent ans de connerie !
Marcel Martin : Où est-ce qu’il va chercher tout ça ?
Grandgil : Mais qu’est-ce que vous êtes venus foutre sur terre, nom de dieu ? Vous n’avez pas honte d’exister ?

#58
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Tout ce que vous venez de souhaiter, le bon Dieu va vous le donner par mon intermédiaire. Vous aurez le nécessaire et le superflu ! Des pauvres, il y en aura plus, je m’en charge !

#59
7.39 (13 votes)

Inutile, il n’y a pas d’issue ! C’est pour tout cela que tu as menti, comploté et assassiné ! Voici ton royaume !

#60
7.37 (9 votes)

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