Le professeur Procyon : Est-ce que vous êtes parvenus à réparer cette pompe ? Vénusia : Impossible, le poste de pilotage est presque inondé ! Rigel : Professeur, on ne peut pas les laisser mourir comme ça ! Mizar : Papa, tais-toi ! Rigel : Qu’est-ce que je pourrais bien faire ? Hop, allons-y ! Mon Dieu, je vous en prie, sauvez ma petite fille, elle est si bonne, je vous promet de faire tout ce que vous voudrez si vous me la sauvez !
Vénusia : Mais qu’allez-vous faire de lui ? Horos : Je vous donne une heure, passé ce délai il sera exécuté ! Phénicia : Non, Actarus il faut y’aller, tu ne vas pas laisser ces brutes exécuter Alcor ? Le professeur Procyon : Ça y’est, Aquarak est au point et prêt à entrer en action ! Actarus : Je vais le prendre pour aller sauver Alcor ! Le professeur Procyon : Oui tu peux partir quand tu veux, les deux Golgoths qui t’attendent en profondeur vont avoir une petite surprise.
Actarus : Et quand sera-t-il opérationnel ? Le professeur Procyon : Bientôt, je l’espère et en attendant je vous interdis à tous de prendre l’air avec vos appareils habituels c’est bien compris ? Actarus, Phénicia, Alcor et Vénusia : Quoi ?
Le professeur Procyon : Dans ce secteur, il n’y a que cette fosse qui soit aussi profonde. Actarus : C’est là qu’ils ont emmené Alcor ? Le professeur Procyon : Oui, très probablement mais ça n’a pas d’importance, Aquarak a été conçu pour pouvoir plonger jusqu’à plus de 3000 mètres. Faites vite pour avoir une chance de sauver Alcor ! Actarus, Vénusia et Phénicia : Oui !
- Alors comment te sens-tu ? - Beaucoup mieux ! C’est agréable de respirer un peu d’air frais ! - Ha, ha, ha ! Ah oui comme tu dis !
- Où vas-tu ? - Vénusia, ne dis surtout pas à Alcor qu’un ovni s’est approché de notre planète ! - Attends ! C’est curieux, dès qu’une soucoupe apparaît, Actarus décide d’aller se promener.
Rigel : Vénusia, il faut que tu réussisses, l’honneur de la famille est en jeu. Mizar : Vas-y, ma vieille ! Vénusia : J’appellerai mon appareil Vénusiak. Actarus, je veux que tu puisses être fier de moi.
Vénusia : Lequel des deux est mon vrai père Actarus ? Actarus : Je me le demande qui peut le savoir Vénusia. Mizar : Hé, ha, ha, ha, ha, ha ! Actarus : Tornade, dis-nous qui est le vrai Rigel ! Tu es la seule qui ne puisse pas te tromper. Rigel : Ah, merci ma belle, tu es la plus mignonne ! Actarus : Donc, c’est celui-là le faux !
Mizar : Il est quand même bizarre ou alors il est retombé en enfance j’en aurai le cœur net. Vénusia : Ce n’est pas parce que papa fait des choses curieuses qu’il faut imaginer je ne sais quoi. Actarus : Si Mizar a remarqué tout ça, ça mérite d’être approfondi. Alcor : Je suis aussi de cet avis. Mizar : Alors, venez voir !
Vénusia : Oh ! Alcor : Il ronfle ! Vénusia : C’est le moins que l’on puisse dire ! Alcor : Il n’y a pas deux ronflements dans le secteur ! Vénusia : Mizar, maintenant tu vas te retourner te coucher, nous, nous avons autre chose à faire ! Mizar : Autant, je pourrais vous aider !
Actarus : Beau travail. J’espère que tu es fière de ce que tu as fait ! Phénicia : Pardon ! Actarus : C’est amusant. Il est un peu tard pour pleurnicher. Alcor est dans de beaux draps maintenant. Vénusia : Assez, Actarus. Ce qu’ils ont fait, c’était pour arrêter l’attaque des missiles. Phénicia : Elle a raison.
Vénusia : Papa ! Actarus : Qu’est-ce qu’il y’a ? Tornade est malade ? Rigel : Oh, je suis le fou du Roi euh, le Roi des fous ! Au lieu de faire un détour, je voulais absolument descendre tout Schuss ! Je voulais imiter une scène de western où on voyait le grand Gary Cooper dans une de ses séquences extraordinaires. Sur son cheval, il descendait une pente à pic pour rattraper les hors-la-loi. Seulement, Tornade n’avait pas vu le film, elle ne savait pas comment Gary Cooper montait. Oh, je ne suis qu’un imbécile, je devrais aller au coin. Oh, Haah ! Oh, je crois que je devrais lui présenter des excuses. Vénusia : Je te comprends mais inutile de te mettre au pain sec, tu auras des rides. Rigel : Haah, tu dis des bêtises et estime-toi heureuse que je ne me fasse pas Hara-Kiri. Actarus : Je vais rester auprès d’elle et tu pourras te reposer.
Rigel : Enfin, ça y est. Je vois l’ovni qui arrive ! Ils acceptent enfin mon invitation. Wahoo hoo celui-là doit transporter le Président de l’Espace. Il porte un curieux emblème dont j’ignore la signification : une espèce d’étoile à quatre branches inscrite dans un cercle. Actarus : L’Emblème de la Division Ruine ! C’était celui qu’arboraient les envahisseurs qui ont anéanti Euphor. Voila révélé le sens caché de mon rêve : Le Grand Stratéguerre a mobilisé la Division Ruine pour me tuer. Et pour y parvenir, ils tueront des milliers d’hommes. Vénusia : Où vas-tu ? Actarus : Vénusia, ne dis surtout pas à Alcor qu’un ovni s’est approché de notre planète ! Vénusia : Attends ! C’est curieux, dès qu’une soucoupe apparaît, Actarus décide d’aller se promener.
Minos : Le voilà ! Horos : Je vais l’accueillir et cette fois, il ne s’en sortira pas vivant ! Actarus : Tu es prête ? Vénusia : Hm, hm ! Actarus : Transfert, Autolargue, Renseversement, Accrochage !
Actarus : Et c’est tout ? Il ne s’est pas nommé ? Vénusia : Non. Il a seulement dit que son ennemi était le Prince d’Euphor. Actarus : C’est Ergastule. Il va m’attaquer dès le lever de la pleine lune. Alcor : Ne t’inquiète pas. Je vais me débarrasser de cet individu.