La journée passe. Nous perdons peu d’hommes, mais chacun d’entre eux est un ami ou un parent. Et devant le corps décapité de son fils, le capitaine rompt les rangs, fou de chagrin, ivre de sang. Les cris du capitaine devant la perte de son fils sont plus effrayants pour l’ennemi que le bruit sourd des tambours. Il faut trois hommes pour le maîtriser et le ramener dans nos rangs. Ce jour est nôtre. Mais il n’y aura pas de chant.
Informations sur la citation
- Publication
- Casting
-
- Dilios
- David Wenham
- Film
- 300
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