Série - New Girl

J’aime pas les maisons hantées parce que c’est comme être en couple… Tu y entres tout confiant et quand tu es engagé c’est pas ce que tu pensais et ça fait peur !

Je ne fais pas confiance aux poissons. Ils respirent de l’eau. C’est dingue.

La vie craint ! Et ensuite ça va mieux, et puis ça craint encore.

- Arrête de faire cette tête ! Je peux plus la voir en peinture !
- Je n’ai pas d’autre tête à faire ! Désolé j’en ai qu’une seule en magasin et je te propose un truc si ma tête te reviens pas Jess… T’as qu’à regarder mon cul !!

Tu devrais être avec quelqu’un qui est fou de toi.

- Qui gagne : moi contre un gorille.
- Le gorille.
- Moi contre un gorille.
- Le gorille.
- Non mais dans un combat.
- Le gorille.
- Ouais, mais dans une compétition.
- Uhhh… le gorille.
- Tu ne comprends rien.

- Pourquoi tu bois encore ? Il est 10h du matin.
- Ouais, je sais comment c’est d’être sobre, donc je vais rester un peu soûl pour toujours.
- Pourquoi il n’existe pas de filles comme toi ?

- C’est quand la dernière fois que t’as eu une MST ?
- Je ne sais pas.
- Demain, tu diras hier.

J’ai comme envie de tuer quelqu’un et aussi, je veux des bretzels.

- Tu sais à quoi je pense Cece ?
- Quoi Schmidt ?
- Quand tu vas te lever, il va y avoir une empreinte parfaite de tes fesses dans le sable.

Vos yeux sont tellement marrons. On dirait du caca.

La vérité c’est que je m’arracherais le cœur pour vous l’offrir mais j’aurais de grandes chances de décéder.

Le samedi est un jour pour dormir et croyez-moi je ne vous laisserai pas m’enlever ce plaisir.

C’est juste vraiment décevant quand les choses ne marchent pas de la façon dont tu pensais qu’elles marcheraient, tu sais ?

Écoute, je sais que tu penses qu’on devrait en rester là, mais je ne veux pas abandonner même si on ne sait pas ce que c’est… je ne veux pas arrêter. S’il te plaît, peut-on ne pas arrêter ? Avant que tu dises non… ne dis pas non.

- Je pense que tu as trop besoin de moi.
- Non. Ça va aller. Je te jure.
- Je ne crois pas.
- Tu sais pourquoi ?
- Parce que je t’ai rencontré.

Un ami aide ses amis à coucher sans sentiments.

Tu m’aimes trop Schmidt. Et t’as choisi le mauvais mec. Quand est-ce que tu vas te sortir ça de ta tête géante ? Je vais te laisser tomber.

- C’est vrai. Le destin est une femme.
- Le destin est peut-être une femme mais la victoire a un pénis.

Je ne peux rien entendre de ce que tu dis quand tu portes ce gilet, Schmidt. Tu ouvres ta bouches et j’entends juste : « Cardigan, cardigan. Je porte un cardigan ».
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