- Tu sais à quoi je pense Cece ? - Quoi Schmidt ? - Quand tu vas te lever, il va y avoir une empreinte parfaite de tes fesses dans le sable.
C’est juste vraiment décevant quand les choses ne marchent pas de la façon dont tu pensais qu’elles marcheraient, tu sais ?
- C’est vrai. Le destin est une femme. - Le destin est peut-être une femme mais la victoire a un pénis.
- Tu sais, pour la première fois dans ma vie, je me sens comme si je voulais quelque chose qui dure. Et je le veux avec toi. - Je ressens… La même chose.
- Tu portes quelque chose de sexy ? - Juste une chemise et un jean comme d’habitude. - Oh, tu portes un jean baby ? Il est moulant ? - Il est un peu évasé, je l’ai acheté plutôt grand. - Oh ce jean semble sexy. - Tout va bien ? Tu veux traîner encore Schmidt ? - Tu prends soin de ton corps pour moi ? - Je ne fais pas des exercices ou des trucs du genre. J’essaye de manger moins de donuts.
- Je t’ai regardé et j’ai pensé : Cette fille doit porter des baskets avec des lacets, et ces lacets doivent être noués ensemble parce que cette fille se casse la gueule, yo. - Quoi ? - Bien sûr que je veux être avec toi.
- Comment un gars comme moi peut avoir une chance de rendre quelqu’un comme Cece heureuse ? - Tu ne peux pas. Pas avec tout ces grains de beauté sur ton visage. - Je devrais juste abandonner, hein ? - C’est fou ! Elle a besoin de toi. Tu es exactement ce dont elle a besoin.
- On a couché ensemble et c’était juste… j’étais heureux, tu vois. On était connectés, je ne pensais à rien. C’est quoi ça ? - C’est l’amour idiot. [Silence] C’est l’amour. - Yuck. - Ça craint.
Ma carrière est grillée. Grillée comme une sardine. La sardine tire son minuscule chapeau au requin, et puis s’allonge sur le toast pour être mangée.