Série - Sherlock

Sherlock Holmes : La ferme ! La ferme ! Tout le monde ! On ne bouge plus, on ne parle plus, on ne respire plus ! Je réfléchis ! Anderson, visage au mur : vous me perturbez !
Anderson : Quoi ? Qu’est-ce qu’il a mon visage ?
Lestrade : Tout le monde se tait. Et Anderson, cachez votre visage.
Anderson : Ah, c’est pas vrai !
Lestrade : S’il vous plaît, faites ce qu’il vous dit !
Sherlock Holmes : Allez vite !

- Des gens sont morts.
- C’est ce que les gens font !

Je ne suis pas un psychopathe, je suis un sociopathe de haut niveau.

Il n’y a pas de fantômes en ce monde, hormis ceux qui nous habitent.

Miss me?

I’m a consulting detective. Only one in the world, I invented the job.

- Mais pourquoi on m’a mis cette couverture ? C’est ridicule cette histoire de couverture !
- Vous êtes sous le choc.
- Je ne suis pas sous le choc.
- Certes, mais il y a des gens qui voudraient prendre des photos.
- Alors ; aucun signe du tireur ?
- Il a filé avant qu’on arrive. Mais ce taxi devait avoir quelques ennemis, je suppose : l’un d’eux l’a peut-être suivi… mais on a rien sur quoi s’appuyer pour l’instant.
- Oh, je ne dirais pas ça.
- OK, dites-moi tout.
- La balle qu’on a extraite du mur vient d’un pistolet. Quand on tue à une telle distance avec ce genre d’arme, c’est qu’on est non seulement un tireur d’élite, mais aussi, un combattant : il a visé et tiré sans trembler. Il est donc habitué à la violence. Mais il n’a tiré qu’au plus fort du danger, alors il a des principes moraux. Vous cherchez un homme qui a probablement un passé militaire [À ce moment-là, Sherlock aperçoit John] et… des nerfs d’acier… En fait, vous savez quoi ? Oubliez-moi.
- Comment ?
- Oui, oui, oubliez tout ça. C’est juste le citoyen choqué qui parle.
- Où allez-vous ?
- Il faut que j’aille discuter de… de mon loyer.
- J’ai encore quelques questions à vous poser.
- Et quoi encore ?! Je suis sous le choc ! J’ai une couverture, là !
- Sherlock !
- Et je viens de vous agrafer un tueur en série… Enfin, plus ou moins.
- OK, on vous interrogera demain. À présent, filez.

- Mais regardez-vous ! Tout joyeux : c’est indécent, Sherlock !
- On s’en fiche de la décence. Cette fois c’est parti pour un tour Mme Hudson !

I’m Sherlocked.

Il y a un vent d’est qui se lève.

Shut up Anderson! You lower the IQ of the entire street!

Heroes don’t exist… and if they did I wouldn’t be one of them.

The game is on!

Sherlock Holmes : Shut up everybody, shut up! Don’t move, don’t speak, don’t breathe, I’m trying to think. Anderson, face the other way, you’re putting me off.
Anderson : What, my face is?
Lestrade : Everybody, quiet and still. Anderson, turn your back.
Anderson : Oh, for God’s sake…
Lestrade : Your back! Now, please!

Dr. John Watson : Fantastique.
Sherlock Holmes : Poudre aux yeux.
Lestrade : Et tous mes vœux.

You told me once that you weren’t a hero. There were times I didn’t even think you were human, but let me tell you this: you were the best man, the most human, human being, that I ever known and no one will ever convince me that you told me a lie so there. I was so alone, and I owe you so much. But please there’s just one more thing, one more thing, one more miracle, Sherlock, for me… don’t be dead. Would you do that just for me? Just stop it, stop this.

- People have died.
- That’s what people do!

- « Une étude en rose »… Charmant.
- Et bien, tu sais : femme en rose, valise rose, portable rose… ça faisait beaucoup de rose. Tu as aimé ?
- Euh… non.
- Pourquoi ? Je croyais que tu serais flatté.
- Flatté ? « Sherlock voit au travers de tout et de nous tous, mais la chose la plus incroyable c’est à quel point il est ignorant sur bien des sujets ».
- Attends une minute : ce n’est pas du tout dans ce sens…
- Oh, tu voulais sûrement dire « ignorant » au sens gentil du mot.
Écoute : je me fiche de savoir qui est Premier Ministre…
- Oh non…
- Qui couche avec qui…
- Ou que la Terre tourne autour du Soleil…
- Oh non, pas ça. Ce n’est pas important !
- Pardon ? On apprend ça dans les petites classes. Comment peux-tu ne pas le savoir ?
- Si je l’ai su, je l’ai effacé.
- Effacé ?
- Écoute : ce qui est à l’intérieur de mon crâne me sert de disque dur, et je ne veux y enregistrer que des choses utiles, vraiment utiles. Tu comprends ? Les gens ordinaires se remplissent la tête de toutes sortes de bêtises, et ils ont du mal à aller à l’essentiel, tu saisis ?
- Mais le système solaire !
- Oh ! Et alors ? Mais qu’est-ce que ça peut bien faire qu’on tourne autour du Soleil ? Si on tournait autour de la Lune, ou bien d’un manège comme des chevaux de bois, on ne verrait pas la différence ! Tout ce qui compte pour moi, c’est le travail. Et sans travail, mon cerveau pourrit. Tiens, mets-ça sur ton blog, ou mieux encore : arrête d’infliger tes opinions au monde !
- … [John se lève]
- Où est-ce que tu vas ?
- Je sors. J’ai besoin d’air !

Tout conte de fée mérite son méchant…

Shut up! I need to go in my mind palace!