Film - Les 101 Dalmatiens (1996)

- Au nom de la loi, je vous arrête.
- Pour excès de maquillage ?

Sales bêtes ! Ne criez pas trop tôt victoire, vous avez peut-être gagné la bataille mais je n’ai pas encore perdu la guéguerre, mon superbe manteau de fourrure m’attend dehors en laissant ses empreintes quand à vous mes agneaux, vous finirez en méchoui ou en chair à saucisses sans famille, sans ami pour venir pleurer sur vos tombes et qui c’est qui va rire la dernière c’est Cruella D’Enfer HA, HA, HA, HA. HAA !

- Toutes mes félicitations pour les médailles d’or, d’argent et de bronze au palmarès des débiles profonds.
- Lequel a eu…
- LA FERME ! Mon entreprise, ma réputation, mon honneur… toute ma vie réduite en miette parce-que trois sinistres imbéciles se sont fait avoir par des animaux ! Des hommes, ça ? Je me marre. Ah ! Vous avez la même cervelle qu’un vieux tapis.

L’homme ne naît pas idiot, Pongo. Mais les jolies filles le transforme en imbécile à leur moments perdus.

Le mariage nous aura emporté plus de femmes de valeurs que toutes les guerres, les famines et le choléra réunis.

- Bonsoir, Madame, Bonsoir coucou !
- Mais enfin, qu’est-ce que vous faites là-haut ?
- A vrai dire, je cherchais les petites bêtes Madame.
- Et où sont-elles hein, ces petites bêtes ?
- Ah, encore une des qualités des plus admirables, Madame va droit au but, elle a l’acidité du laser, elle va droit au bout des choses, elle me demande « où sont-elles ces petites bêtes », je ne suis pas sûr de l’affirmer à 100% de vous répondre Madame mais patientez quelques instants je vais me renseigner auprès de mon associé, Horace…
- Descendez de ce perchoir et allez me chercher ces maudites bêtes ! Qui m’a fichu de pareils crétins, les imbéciles, je vais m’occuper de ces cabots moi-même !

Cruella DeVil : Je me vengerai, vous allez voir, imbéciles, imbéciles…
Horace : Ouille !
Jasper : Bonsoir, Madame, ouille !

Mes fourrures, pauvre petites choses, d’abord je vais leur couper la route et ensuite je vais les couper en morceaux AH, AH, AH ! Chérie, vous êtes ridicule en rouge, rends-moi ma toque, tu vas me rendre cette toque ou je te transforme en toque, rends-moi ma toque, AHH !

- Il faut que je te parle de Skinner. À ce qu’il paraît, quand il était tout jeune, son chien l’a attrapé à la gorge et lui a arraché les cordes vocales. Il est mutilé et muet. Il ne peut plus parler. Il y a deux choses à ne pas faire avec Mr Skinner. Primo, tu ne regardes pas l’horrible cicatrice qu’il porte au cou. Deuzio, tu ne lui parles pas. Pas un mot.
[Skinner ouvre la porte]
- Ah ! Regarde la taille de cette cicatrice ! Quelle horreur ! Pas étonnant que vous puissiez plus ouvrir le bec.

Attends un peu, viens par ici toi, espèce de chiot !

- Il a fallu que tu laisses partir ces sales bêtes, tu pouvais pas faire attention non.
- Ben quoi, où t’étais ?
- Où j’étais. En tout cas moi je barbotais pas dans la marre. À cause de toi, la vieille est furieuse, si on ne se débrouille pas pour retrouver les chiots, elle nous arrachera la tête. Bon, allez démarre toi. Bon, va jeter un coup d’œil au pot d’échappement allez, allez, allez.
- Toi un de ces quatre, je t’en enverrai de toutes les façons.
- BOUHH ! Allez vas-y démarre ! Ben tu vois quand tu veux !
- WOOH !

- S’il te plait Jasper, tu peux pas mettre le chauffage ?
- Non ! Déjà qu’on traîne, j’ai pas envie de fatiguer le moteur !
- Alors autant que je crève de froid tout de suite, j’ai besoin de chaleur !
- Ah, il ne manquait plus que ça !
- Je crève de chaud, je crève de chaud.

- Ohé ! Sortez tout de suite de cette camionnette !
- Ouais !
- Fichez le camp, fichez le camp, allez-vous en, allez-vous en ! C’est pas les pierres qui manquent par ici si vous vous avisez de revenir sales bêtes !

Attends un peu, viens par ici, crapule, sale petit rat de laboratoire !

- Reste là ! Toi, je t’en donnerai des raisons d’aboyer, attends un peu que je t’attrape ! OHH !
- Qu’on gèle, je gèle !