Personnage - Cruella DeVil

- Au nom de la loi, je vous arrête.
- Pour excès de maquillage ?

Mes fourrures, pauvre petites choses, d’abord je vais leur couper la route et ensuite je vais les couper en morceaux AH, AH, AH ! Chérie, vous êtes ridicule en rouge, rends-moi ma toque, tu vas me rendre cette toque ou je te transforme en toque, rends-moi ma toque, AHH !

Sales bêtes ! Ne criez pas trop tôt victoire, vous avez peut-être gagné la bataille mais je n’ai pas encore perdu la guéguerre, mon superbe manteau de fourrure m’attend dehors en laissant ses empreintes quand à vous mes agneaux, vous finirez en méchoui ou en chair à saucisses sans famille, sans ami pour venir pleurer sur vos tombes et qui c’est qui va rire la dernière c’est Cruella D’Enfer HA, HA, HA, HA. HAA !

- Toutes mes félicitations pour les médailles d’or, d’argent et de bronze au palmarès des débiles profonds.
- Lequel a eu…
- LA FERME ! Mon entreprise, ma réputation, mon honneur… toute ma vie réduite en miette parce-que trois sinistres imbéciles se sont fait avoir par des animaux ! Des hommes, ça ? Je me marre. Ah ! Vous avez la même cervelle qu’un vieux tapis.

Le mariage nous aura emporté plus de femmes de valeurs que toutes les guerres, les famines et le choléra réunis.

- Bonsoir, Madame, Bonsoir coucou !
- Mais enfin, qu’est-ce que vous faites là-haut ?
- A vrai dire, je cherchais les petites bêtes Madame.
- Et où sont-elles hein, ces petites bêtes ?
- Ah, encore une des qualités des plus admirables, Madame va droit au but, elle a l’acidité du laser, elle va droit au bout des choses, elle me demande « où sont-elles ces petites bêtes », je ne suis pas sûr de l’affirmer à 100% de vous répondre Madame mais patientez quelques instants je vais me renseigner auprès de mon associé, Horace…
- Descendez de ce perchoir et allez me chercher ces maudites bêtes ! Qui m’a fichu de pareils crétins, les imbéciles, je vais m’occuper de ces cabots moi-même !

Cruella DeVil : Je me vengerai, vous allez voir, imbéciles, imbéciles…
Horace : Ouille !
Jasper : Bonsoir, Madame, ouille !

Miroir magique au mur, qui a la beauté parfaite et pure ? C’est toi !

Alonso, le croquis ! Prenez le croquis d’Anita et donnez le moi, serait-ce trop pour vous ? Merci, allez vous planquer quelque part jusqu’au moment où je vous le donnerai à la porte !

Me voilà réduite à patauger dans la gadoue, parce que mes deux imbéciles ne sont pas capables de garder une poignée de nouveaux nés tachetés.

Oui, j’adore renifler les espèces en voie d’extinction.