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Film - La classe américaine

Affiche de La classe américaine
Titre
La classe américaine
Réalisé par
Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette
Année de sortie
1993
Nombre de citations
30
Note moyenne des citations
7.12
Publication

Dernière mise à jour

Synopsis
Après la mort de Georges Abitbol, l'homme le plus classe du monde, deux journalistes enquêtent pour comprendre la signification de ses dernières paroles : « Monde de merde ». Le film est visionnable sur Youtube. Si vous ne connaissez pas, un article de Slate retrace son histoire.
Liens
Répliques en anglais sur l’IMDB
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Répliques du film (30)

- Ah, voilà enfin le roi de la classe ! L’homme trop bien sapé, Abitbol ! Alors comme ça tu as été élu l’homme le plus classe du monde ! Laisse-moi rire ! Style le grand playboy des fonds marins, genre qui fait rêver les ménagères. Sauf que moi je les baise, moi, les ménagères, non ? C’est pas vrai ?
- Écoute-moi bien mon petit José. Tu baises les ménagères, bien, tu dois avoir le cul qui brille. Mais c’est pas ça qu’on appelle la classe. Je te dis ça en qualité d’homme le plus classe du monde.
- Eh je t’arrête tout de suite. La classe, c’est d’être chic dans sa manière de s’habiller. Rien de tel que d’aller chez Azzedine Alaia même de s’acheter des sous-pulls chez Yohji Yamamoto !
- Excuse-moi de te dire ça mon pauvre José, mais tu confonds un peu tout. Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe. Tu es fou. Tu dépenses tout ton argent dans les habits et accessoires de mode mais tu es ridicule. Enfin si ça te plait… C’est toi qui les portes. Mais moi, si tu veux mon opinion, ça fait un peu… has been.
- La vache ! Moi, j’ai l’air has been ? J’en ai pour plus d’une barre de fringues sur moi. Alors va te faire mettre !
- Tu n’es vraiment pas très sympa. Mais le train de tes injures roule sur les rails de mon indifférence. Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd.
- Bien ! Considère qu’on n’est plus amis, Abitbol !

8.91 (91 votes)

Monde de merde.

8.86 (95 votes)

- Où j’ai connu Georges ? C’est une excellente question… À la ferme.
- La ferme ? Quelle ferme ?
- À la ferme ta gueule toi du con, espèce de crétin ! Qu’est ce que tu veux, nous prendre la tête là ? Pauv’ con ! Oui j’l’ai connu à la ferme, on était des cow boy, on vivait à la ferme, ça a rien d’étonnant.
- Merci, c’est très agréable. Non mais c’est vrai, je me fais engueuler devant des journalistes qu’on connaît même pas. C’est classe bravo.

8.83 (84 votes)

J’aimerais bien que tu restes. On va manger des chips. Tu entends ? Des chips ! C’est tout ce que ça te fait quand je te dis qu’on va manger des chips ?

8.63 (70 votes)

Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence.

8.59 (196 votes)

Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd !

8.48 (82 votes)

Tiens regarde, les anglais ont débarqués, on va être obligés de passer par derrière. Tu sais par ce tunnel tout sombre qui sent pas très bon.

La classe américaine.
8.2 (51 votes)

Non mais pour qui tu me prends, je rêve ! La fromagerie en bas de chez moi elle vendait trois choses : du fromage, des ouiches lorraines et de la bouffe chinoise… Alors toi, mec, avec tes régimes à la con, tu me fais bien marrer : t’as devant toi le spécialiste de la ouiche lorraine !

8 (35 votes)

- Alors d’où tu viens toi ?
- Moi ? je suis juif !
- Ohh tu es juif toi !
- Oh oui je suis juif ! je suis même juif arabe !
- Juif arabe ?! À mon avis, juif et arabe c’est bizarre et moi j’aime pas trop les gens bizarres.
- Oh putain j’peux pas encadrer les nazis mais laisse tomber.
- Précises ta pensée.
- J’ pense que t’es un ouf, un ouf malade. En plus c’est du racisme.
- Ça c’est ton avis personnel que je suis raciste mais si tu veux savoir, j’ pense que si il y a un raciste ici c’est wat !
- Oh t’façon ça sert a rien de discuter avec toi t’a toujours raison !
- Si ça sert de discuter avec moi C’EST TOI QUI A TOUJOURS RAISON !

7.96 (39 votes)

- Qu’est ce que tu fous avec les bras en l’air ? Je t’ai dit de les lever ? Baisse tes bras, c’est moi qui les lève !
- Ha non c’est à moi de les lever !
- Non c’est à moi de les lever, c’est moi qui décide et puis d’ailleurs arrête de faire tout comme moi. Baisse les bras et prend ton flingue au lieu d’être là à me copier.
- Mon flingue ? Avec plaisir.
- Tout compte fait je préfère garder mon flingue. Désolé. Je vais partir avec mon cheval. Vieux.
- Ok y’a pas de problèmes je vais juste le préparer pour toi.
- Nan j’ai changé d’avis TU prends le cheval et TU te casses !
- Ok.
- [Énervé] Putin je me suis mal démerdé ! Pourtant j’ai pas fait une concession !

7.8 (31 votes)

Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe !

7.78 (44 votes)

- Yep. Yep. Yep. Yep. Yep.
- Ben qu’est-ce qui te prend à dire « yep » comme ça ?
- Ben c’est pour dire « yep ».
- Ah, c’est pas banal, ça.

7.55 (39 votes)

- Allons, vieux, même dans les grands restaurants on crache dans les plats, alors dans ce taudis, je vois pas pourquoi ils se feraient chier. Allez, je vous laisse manger, bon appétit.
- J’ai connu un mec de droite une fois, il avait dix fois plus de classe.
- Ah, encore une chose. Je vous conseille d’éviter la mousse au chocolat du patron.

7.37 (28 votes)

Jacques : Ah, c’est une longue lettre épistolaire de mon ami Dino, qui m’appelle à la rescousse pour me demander de l’aide, pour George qui va mal.
Hugues : Qu’est-ce que ça peut te foutre qu’il aille bien ou mal, ce tâcheron ? De toute façon, j’ai jamais pu l’encadrer.
Georges Abitbol : Merci de m’appeler tâcheron ! Ça fait toujours plaisir à entendre, surtout de la part de deux pédés.

La classe américaine.
7.25 (30 votes)

Je me permet d’interrompre ce film parce qu’on se fout un peu de ma gueule, c’est du vol et du plagiat. J’aime pas trop les voleurs, et les fils de pute.

7.14 (11 votes)

- Georges, je crois qu’il faut que nous parlions. Sur prétexte que je suis gentil les gens me prennent pour un truffons. N’empêche, nous avons à parler. Visiblement vous n’allez pas bien, laissez-moi vous aider.
- Casse-toi Jacques !
- Ah ça ! Mais vous refusez le dialogue ?!
- Seulement j’veux pas qu’on m’parle, j’veux qu’tu quittes la ville. Et t’as intérêt à t’casser avant neuf heures.
- Mais Georges rassurez-moi, vous ne seriez pas en train de me prendre pour un con des fois ?
- Si, complètement même ! Casse-toi maintenant !

7.11 (28 votes)

- Mais j’te reconnais toi, j’t’ai déjà vu quelque part ! Je suis sûr que j’te reconnais.
- Désolé mais c’est moi qui te reconnaît. J’t’ai vu le premier, toi tu m’as vu en deuxième. Vu ?
- Beh… j’t’ai vu le deuxième alors voilà.
- Perdu ! C’est aussi moi qui t’ai vu le deuxième.
- Ohh dis-donc t’es super fort !
- Mais j’suis pas super fort j’suis mieux que ça même ! J’suis surpuissant !
- Bon ben lui il va prendre la tête.

7 (10 votes)

- (…) Hey, l’homme qui fait rêver les ménagères ! Moi j’les baise, les ménagères, hein ! C’est pas vrai ?
- Écoute-moi bien mon petit José, tu baises les ménagères, bien : tu dois avoir le cul qui brille ! Mais c’est pas ça qu’on appelle la classe…

6.92 (42 votes)

- Regarde, c’est lui, là.
- Qui, le jus de tomate ?
- Non, l’acteur !

6.82 (34 votes)

Blablabla, j’ai les bonbons qui collent au papier.

6.73 (39 votes)

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Personnages du film

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