Film - Aladdin

Si tu veux faire la cour à la donzelle, il vaut mieux pas qu’tu tires dans les coins. Tu piges ?

- Au fait, de quelle province aviez-vous dit que vous veniez ?
- Oh, je viens d’une province si éloignée que vous ne puissiez pas la connaître !
- Cela m’étonnerait !

- Ah, je commence à en avoir ras-le-bol, la prochaine qu’il m’étouffe en m’obligeant à avaler un de ces sales biscuits moisis et dégoûtants, tarda et paf !
- Calme-toi, Iago !
- Et puis, je lui ferai sa tête au carré !
- C’est moi qui deviendrai Sultan à la place de ce demeuré congénital !
- Et je lui ferai bouffer ces gâteaux pourris !

Le fait de m’obliger à me marier me rendra au moins un service : quand je serai Reine, j’aurai enfin le pouvoir de me débarrasser de vous.

Jasmine : Jafar !
Jafar : Oh, Princesse !
Iago : Jafar, j’suis coincé !
Jafar : Que puis-je pour vous votre grandeur ?
Jasmine : Les gardes ont arrêté un jeune homme au marché sur vos ordres !
Jafar : Mais votre père m’a chargé de maintenir la paix à Aggrabah, ce jeune homme était un criminel.

- Que voulez-vous dire ?
- Hélas, je crains fort que la sentence ne soit déjà exécutée !
- Quelle sentence ?
- La mort !
- Quoi ?
- Par décapitation !
- Non !
- Oh, je suis excessivement navrée, Princesse !
- Comment avez-vous pu ?

Oh, je trouve qu’elle l’a pris plutôt bien !

Tu ne seras qu’un pauvre fou si tu abandonnes petit !

Jafar tu pourrais t’grouiller, j’crève de chaud moi là-dessous.

- Aide-moi, donne-moi ta main !
- Donne-moi la lampe !
- Je vais lâcher prise, donne-moi ta main !
- Envoie-moi d’abord la lampe !
- Ouais, enfin !
- Qu’est-ce que tu fais !
- Je vais t’offrir ta récompense, ton éternelle récompense !

- Bonne nuit, mon tendre Prince !
- Dors bien Princesse ! Ouais ! Pour la première fois de ma vie, il n’y a pas un seul nuage en vue !

- Ben qu’est-ce que t’as toi, t’as un problème, poulet, crétin va ! AH, AH, AH, AH, AH, bon sang, Jafar va être vachement impatient de t’avoir !
- Excellent travail, Iago !
- Oh, laisse tomber !

- Le voilà qui crache, Jafar, Jafar, Jafar, tu te réveilles, oh tu m’étouffes.
- Le Prince Ali n’est rien d’autre que ce petit loqueteux d’Aladdin, c’est lui qui a la lampe, Iago.
- Quoi, c’est ce misérable.
- C’est toi qui va aller l’en délester.
- Quoi ?

- Plus vite, Iago !
- Avec tout le respect que je vous dois, votre pourriture, est-ce qu’on ne pourrait pas attendre une vraie tempête ?
- Épargne ta salive Iago, plus vite !
- Oh oui, Ô puissance démoniaque !
- Par le temps et par le sable, dévoile-moi quel humain pourra s’emparer de la lampe. Oui, oui, le voilà, mon Diamant d’Innocence !
- Quoi, c’est ce type là c’est ce clown qu’il faut qu’on attrape !
- Donnons-lui par les gardes une invitation au palais ! Qu’en penses-tu ?
- Super !

Fais gaffe, fais gaffe, fais gaffe, fais gaffe, espèce de chauffard.

Le Sultan : Jafar, encore vous, infâme comploteur !
Iago : Non, c’est Sultan, infâme comploteur mon gros !
Aladdin : Ah, oui ! Eh bien nous allons voir ça ! La lampe !
Jafar : Qui va à la chasse hein Prince Aboubou ?

Oh, Jafar, t’es trop ma grande, tu me fais des charmes, arrête donc ton char, tu vas m’faire rougir.

Jafar : Si vous ne voulez pas ramper devant un Sultan alors je veux vous voir ramper devant un sorcier, Génie voici mon deuxième vœu, je souhaite devenir le sorcier le plus puissant de l’univers.
Aladdin : Génie, arrête !
Iago : Très chers amis d’Aggrabah, que tout le monde applaudisse avec moi, bienvenue au grand sorcier Jafar.

- Encore toi ! Combien de fois faudra-t-il que j’te tue, avorton ?
- Vite la lampe !
- Non, le temps vous est compté Princesse !
- Jasmine !

Jafar : Enlève tes sales pattes de là !
Iago : La ferme, pauvre andouille !
Jafar : Je t’interdis de m’insulter !
Le génie : Tu permets petit, dix millénaires dans la Caverne aux Merveilles, voilà qui devrait les calmer.