Bison : Salutations, Guile ! Guile : Ça y’est ! Il a mordu ! Bison : De soldat à soldat, quel manque de respect Colonel ! Guile : Un soldat, toi ? Combien d’infirmières et de docteurs t’as massacré cette semaine ? T’en as fait combien des orphelins ? Bison : Tu ravaleras ces paroles, Guile ! Guile : Quand tu veux pauvre con et en couverture mondiale ! Dee Jay : Général, ils ont un traceur ! Bison : Tu te crois tellement malin alors réfléchis-bien. Tu sais compter jusqu’à trois ? Si je n’ai pas reçu mes 20 milliards de dollars avant trois jours, les otages seront exécutés et tu en porteras la responsabilité aux yeux du monde, victoire à Bison ! Guile : Les otages, si vous m’entendez, tenez bon, on arrive ! Charlie, accroche-toi, ne te laisse pas faire tu m’entends ?! Charlie, Charlie ! Dee Jay : Carlos Blanka ! Charlie, tu es donc son ami ! Qu’on l’emmène au laboratoire !
- On est deux à n’attendre que ça. J’ai raison hein Bison ?! Tu vas me montrer ce que tu as dans ton calbute. - J’écraserai quiconque s’oppose à moi comme un cancrelats.
- Bah, alors, Bison de Bisou, où est donc passée ta pureté au combat à mains nues ? - Ce ne sont que des électroaimants supraconducteurs, tu dois connaître non ?! Ils font léviter les trains qui vont d’un bout à l’autre d’Hokkaido, ils font léviter mon bureau ainsi que ma scelle qui enfourche le monde et ils font aussi léviter ma personne.