Personnage - Bison

- My father saved his village at the cost of his own life. You had him shot… as you ran away. A hero… at a thousand paces.
- I’m sorry. I don’t remember any of it.
- You don’t remember?
- For you… the day Bison graced your village… was the most important day of your life. But for me… it was Tuesday.

- J’ai passé les dix dernières années dans le monde des médias à recueillir des informations sur vous, j’ai découvert des gens qui vous haïssaient autant que moi. Et surtout, j’ai appris à étudier les différents arts martiaux venant de trois continents de manière à pouvoir vous affronter un jour, venger mon père et enterrer votre règne de terreur moi-même !
- J’en doute fort car personne ne vous a jamais vue vous battre. Vous êtes toujours flanquée derrière votre sumotori et votre boxeur. Et enfin, de tout votre séjour à Shadaloo, vous n’avez pas donné le moindre coup de poing. Non ma douce, je connais les femmes et vous, vous êtes inoffensive.
- C’est ce que j’ai réussi à vous faire croire ! Yaah !

- Tu sais compter jusqu’à trois Guile. Si dans trois jours je n’ai pas reçu mes 20 milliards de dollars, les otages seront exécutés et tu en porteras la responsabilité aux yeux du Monde.
- Les otages, si vous entendez, tenez bon, on arrive ! Tiens bon, Charlie !

Tu pensais que tu allais affronter un fou, mais tu t’es retrouvé en face d’un Dieu.

- Mon père avait sauvé son village et ça lui a coûté sa propre vie. Vous l’avez fait abattre durant votre fuite…
- Je suis désolé. Je ne m’en souviens plus.
- Vous ne vous en souvenez plus ?
- Pour vous… le jour où Bison a honoré votre village… était le jour le plus important de votre vie. Mais pour moi… C’était un Jeudi.

- C’est un logiciel éducatif de base. Pourquoi l’en émouvoir ?
- Parce qu’il n’est pas fou… à l’inverse de vous.
- Vous prenez des risques inconsidérés, Docteur. Vous ne devriez pas abuser de ma clémence naturelle. Quand les plus loyaux de mes scientifiques s’attaqueront à ses muscles, ce sera un spécimen parfait de bête à tuer.

- Tu viens de faire de moi un homme comblé.
- Et après, je ferai de toi un cadavre.

- Grande nouvelle, toutes mes félicitations !
- Je suis en deuil, imbécile !
- OK !

Game Over !

- Guile, il est vivant !
- Évidemment ! Sa mort n’a servi qu’à se mettre ses deux espions dans ta botte et devinez qui c’est qui n’a rien vu, hein ? Cette fois-ci Colonel, tu vas mourir pour de vrai !

- C’est une blague ? Ces billets ne valent même pas leur pesant de papier toilette.
- Bien au contraire, Sagat ! Un dollar Bison sera échangé contre cinq Livres Sterling. Ce taux sera obligatoirement fixé par la Banque d’Angleterre une fois que la Reine Elizabeth sera mon otage.
- J’étais complètement taré de croire que je pourrais faire du business avec toi.

- Dee Jay, les Nations Alliées ont-elles versé les 20 milliards de dollars sur mon compte à ma banque suisse.
- Que dalle, Général !

Bison : Tu refuses encore d’admettre ma divinité ? Prépare-toi à rencontrer ton misérable Dieu mais il est un peu tard pour le prier une dernière fois car moi j’ai vu Lucifer tomber du firmament comme un éclair dans le ciel. Haaah, Haaah !
Inconnu : Bison, je te scalpe !

La défaite est donc envisageable Dee Jay. Bien, nous allons l’affronter avec le stoïcisme et toute la fougue du vrai guerrier.

Contemplez le visage de votre extermination et de ma victoire ! Élevez l’incubateur !

- De soldat à soldat Guile, quelle impolitesse !
- Un soldat, toi ? Combien d’infirmières et de médecins as-tu massacré ces dernières semaines ? Combien d’enfants en as-tu fait des orphelins ?
- Tu ravaleras ces paroles, Guile !

Dee Jay : Grande nouvelle, toutes mes félicitations !
Bison : Je suis en deuil, imbécile !
Dee Jay : OK !
Bison : J’avais espéré l’affronter en personne et face à face, d’un honorable Chevalier à l’autre dans un combat enfreint de respect puis je l’aurais écrasé comme une punaise. Ah, quelle occasion gâchée, la vie qui vous file entre les doigts. Mais enfin pourquoi ? Pourquoi suis-je toujours un despote aux yeux du monde ? Un fou furieux moi alors que ma seule ambition est de créer le soldat parfait, génétiquement parfait, pas pour le pouvoir, pas à des fins nuisibles mais pour le bien de tous. Carlos Blanka est le premier d’une longue lignée qui émergera de mon laboratoire le sabre au clair et réduira en poussière les adversaires et les réfractaires de toutes les nations, de toutes les idéologies jusqu’à ce que la planète entière soit sous l’emprise bienveillante de la paix bisonique alors le monde connaîtra le bonheur et toute l’humanité se prosternera devant moi, éperdue de gratitude.
Zangief : C’est vachement émouvant !

- Ah, Docteur Dhalsim, comment vont les recherches aujourd’hui ?
- Comme toujours, corrompues, dévoyées, ma science dénaturée, servant la perversion au lieu de la paix.
- Voilà ce qu’on va faire. Quand j’aurais écrasé les ennemis, je vous obtiendrai un contrat de publication, on serait heureux à moindre, allons voir où en est votre patient. Excellent, il est tout à fait indiqué, c’est un soldat parfait que nous avons là.
- Un parfait tueur vous voulez dire !
- Nous n’allons pas pinailler indéfiniment ! Il réagit au conditionnement, qu’est-ce qu’il voit ?
- Jugez vous-même !
- C’est un logiciel éducatif de base, pourquoi s’en émouvoir ?
- Parce qu’il n’est pas fou à l’inverse de vous.
- Vous prenez des risques Docteur.
- Gahh, gahh, gahh !
- Vous ne devriez pas trop abuser de ma clémence naturelle. Quand son cerveau sera devenu une machine à tuer, les plus loyaux de mes scientifiques s’attaqueront à ses muscles.

Bison : Ici le Général Bison ! Toutes nos défenses sont verrouillées sur vous, identifiez-vous !
Guile : C’est les huissiers, salopard ! Ton cul est en fin de crédit et je viens te le rendre.
Viktor Sagat : Guile, il est vivant ?!
Bison : Evidemment ! Sa mort n’aura servi qu’à te mettre ses espions dans la poche, et devinez qui c’est qui n’a rien vu hein ?! Cette fois-ci colonel, tu vas mourir pour de vrai.

- Bison, Bison, où elle est ta pureté au combat à mains nues ?
- Ce sont des électroaimants, tu dois connaître ça ? Ils font léviter les trains qui vont jusqu’à l’autre bout d’Hokkaido et font également léviter ma personne.