Balrog : Tiens, si ce n’est pas nos deux potes qui nous ont balancés. Qu’est-ce qu’ils racontent, je n’entends rien. E. Honda : J’ai cru entendre « Vive Bison », c’est des fanatiques. Ken : On est du même coté. Balrog : Ça, c’est marrant, ils veulent aller à coté. Ken : Ce que j’essayais de dire, c’est qu’on est du même coté.
- Pour le prochain combat, le challenger Ryû. Face à lui, le tenant du titre, mon champion, Vega. Paris minimums fixés à 100 dollars américains. - Si c’est pas de l’amour ça ! - Vega est le plus grand Street Fighter du Monde. - Il est devenu quoi lui ? - Je me suis retiré pour bâtir un empire. - Pourquoi m’obliger à regarder ? - Pour vous instruire, vous passerez ensuite.
Guile : Les réfugiés qui arrivent ici par milliers ont de la chance. Les otages que Bison retiennent ne peuvent pas en dire autant. Ken : Vous essayez de nous culpabiliser ? Guile : Ou de vous réveiller si sa vous chante. Manille, Tokyo, Shanghai, Macao, Hong-Kong, Shadaloo. Vous en avez tellement fait et vous vous dites que finalement voler des voleurs c’est mieux que rien. Alors, est-ce que vous êtes pareils à Sagat et à Bison ou c’est moi qui ai raison et vous valez mieux ? Ryû : On vaut mieux, est-ce qu’on peut partir ? Guile : Vous pouvez partir, mais à une condition c’est qu’il faudra me passer sur le corps.
Guile : Prenez vos passeports, vous les avez bien mérités ! Ken : Gardez les ! Il faut remettre tout un pays sur ses pattes. Y a du boulot pour deux petits arnaqueurs. Guile : Vous n’avez jamais songé à vous engager ? Ken et Ryû : Oh, non, non, non !