Personnage - Viktor Sagat

Des jouets ! Moi aussi, j’adore jouer en direct et sans filet.

- La Marine va les extrader gentiment. Bon voyage, Sagat ! Ça va être une jolie croisière !
- Rien n’est fini Colonel, elle est à moi cette ville.
- Ouais, mais en attendant elle s’appelle reviens, et toi tu vas pointer au chômage.

- Vas-y, mollo, mec ! C’est mes allocations chômage !
- Tout ce qu’il ne faut pas entendre !

- Jamaïque, à nous deux !
- À nous trois !

- Guile, il est vivant !
- Évidemment ! Sa mort n’a servi qu’à se mettre ses deux espions dans ta botte et devinez qui c’est qui n’a rien vu, hein ? Cette fois-ci Colonel, tu vas mourir pour de vrai !

- C’est une blague ?! Ces billets ne valent même pas leur poids de papier toilette.
- Bien au contraire, Sagat ! Un dollar Bison sera échangé contre Cinq Livres Sterling sur le marché international. Ce taux sera obligeamment fixé par la Banque d’Angleterre une fois que la Reine Elizabeth sera mon otage.
- J’étais complètement taré de croire que je pouvais faire du business avec toi, tu es bon à enfermer à l’asile.

- Pour le prochain combat, le challenger Ryû. Face à lui, le tenant du titre, mon champion, Vega. Paris minimums fixés à 100 dollars américains.
- Si c’est pas de l’amour ça !
- Vega est le plus grand Street Fighter du Monde.
- Il est devenu quoi lui ?
- Je me suis retiré pour bâtir un empire.
- Pourquoi m’obliger à regarder ?
- Pour vous instruire, vous passerez ensuite.

Bison : Ici le Général Bison ! Toutes nos défenses sont verrouillées sur vous, identifiez-vous !
Guile : C’est les huissiers, salopard ! Ton cul est en fin de crédit et je viens te le rendre.
Viktor Sagat : Guile, il est vivant ?!
Bison : Evidemment ! Sa mort n’aura servi qu’à te mettre ses espions dans la poche, et devinez qui c’est qui n’a rien vu hein ?! Cette fois-ci colonel, tu vas mourir pour de vrai.

Il ne reste que la vengeance !

- Ce conciliabule est terminé !
- Tu mourras pour cette insulte Sagat !

- Eh, vous deux, écoutez, donnez-nous les clés !
- C’est ça, crève !
- Il faut tout oublier ! Je vous ferai passer la frontière !

Viktor Sagat : Bonsoir Messieurs, je vous souhaite la bienvenue !
Ken : Bonsoir Monsieur Sagat !
Ryû : Quelle ambiance, vous êtes au courant pour le couvre-feu ?
Viktor Sagat : Dans la ville de Shadaloo, je ne reçois d’ordres de personne. Puis-je vous offrir un verre ou autre chose ?
Ken : C’est bien beau la politesse mais on doit parler affaires. Est-ce que vous avez les 100 000 dollars ?
Viktor Sagat : Est-ce que vous avez les armes.

Ken : Elles sont en lieu sûr.
Ryû : Une fois qu’on sera dehors avec notre pognon, on vous téléphonera pour vous dire quand vous pourrez les retirer.
Ken : On était bien d’accord là-dessus.
Ryû : Votre téléphone Sagat !
Viktor Sagat : Gardez-le ! J’ai appris que votre chargement était au port, Patrimoine Brothers, Quai N°quatre. En fait, mes hommes ont pris la précaution de décharger le camion et d’apporter la marchandise ici. Voyons Messieurs, vous n’avez quand même pas peur de vos propres armes, prêts, talumbo, bang. Ha, ha, des jouets ! Moi j’aime jouer en direct et sans filets. Très impressionnant Messieurs, vous êtes donc à la hauteur de vos promesses ?