- Ah l’amour ! Votre appel à la clémence ne peut point s’adresser à un cœur de pierre mais les traîtres à la couronne doivent mourir ! - Traître à la couronne, elle est la panache du Roi Richard, Longue vie au Roi Richard ! - Assez, c’est moi le Roi, le Roi, le Roi, allez ! Qu’on lui tranche la tête !
Robin Des Bois : Vous m’avez sauvé la vie ! Marianne : Je ne saurais vivre sans vous Robin ? Le shérif de Nottingham : Il y’a quelques méchancetés, quelques nuisances ici ! Petit Jean : Maintenant PJ, dis à mon copain d’embrasser Marianne ou je te larve la couenne !
- Marianne voulez-vous m’épouser ? - Oh, j’avais espéré que vous me le demanderiez mais vous auriez pu choisir un moment plus romantique.
- Oh, on n’a pas de chance, ce n’est qu’un cirque minable, piteuse opération ! - Piteuse ? Gros nigaud ! C’est le carrosse royal, le Prince Jean en personne ! - Le Prince ? Non, je refuse de détrousser une personne royale, je te rejoindrai plus tard. - Tu refuses de détrousser une personne royale ? - Et ça recommence !
- Tu sais Robin, je me pose une question. Sommes-nous d’honnêtes ou de malhonnêtes gens ? Est-ce que c’est bien… de dérober aux riches afin de nourrir les pauvres ? - Quoi ? Mais c’est là une expression peu convenable. Nous autres… Nous empruntons à ceux qui ont trop de fortune ! - Empruntons ? Hé Hé Hé !! Malheur au royaume des dettes !!
- Tu sais ami Robin, je trouve que tu prends beaucoup trop risques. - Des risques ! Oh, oh, oh, vous plaisantez ? Ce n’est que pures bouffonneries Petit Jean rien de plus. - Oui et regarde ton couvre-chef. Ce ne ferait pas une chandelle pour une fête d’anniversaire. - Oh de Dieu, celle-là a failli s’appeler « Adieu Robin ! ». Ils sont en progrès crois-moi il faut le reconnaître, ils sont en grands progrès. - Eh oui, la prochaine fois ce sheriff va probablement nous passer la corde autour du cou ouille, il va m’étrangler. - Oh mais tu te tracasses pour rien mon bon compagnon. - Tu sais Robin, je me pose une question. Sommes-nous d’honnêtes ou des malhonnêtes gens ? Est-ce si bien que cela de voler les riches pour nourrir les pauvres ? - Quoi ? Mais ce n’est que là une expression peu convenable Petit Jean. Nous autres les hors-la-loi, nous empruntons à ceux qui ont trop de fortune. - Empruntons ? Hé, hé, hé ! Malheur au royaume des dettes ! - Oh, oh, oh, voilà qui annonce un excellent jour de quête pour les pauvres hein mon vaillant compère ? - Oui, merveilleuse charité !
- Archer, je te fais mon compliment et ton adresse mérite ainsi l’intime honneur auquel tu as droit, notre royale félicitation ! - Oh vous me flattez mon Roi, vous voir face à face ! Gracieux souverain, ça me fait rudement plaisir ! - Lâche ma royale patte d’Or ! Et je te proclame ce jour le gagnant ou peut-être plus véridique, le perdant ! Saisissez-le ! Je te condamne à une peine capitale rapide et même immédiatement !
- Eh Don Juan, la soupe est-elle bientôt prête ? J’ai faim moi ! Robin, Robin, Robin ! Eh ? - Comment ? Qu’est-ce que tu dis ? - Je n’ai rien dit, ce n’est pas la mère à boire ! - Grand Dieu, le bouillon déborde ! - Tu as laissé brûler la petite torsade ! - Excuse-moi, je n’arrête pas de penser à Marianne ! Hélas que puis-je ? Je l’aime Petit Jean !
Marianne : Oh non, pitié, pitié Sire, gracieuse Majesté, épargnez sa vie je vous en prie Sire, pitié ! Le prince Jean : Mon émotive Lady pourquoi le ferai-je ? Marianne : Parce que je l’aime votre grandeur ! Le prince Jean : Vous l’aimez ? Et ce prisonnier est-il également amoureux de vous ? Robin Des Bois : Marianne, je vous aime encore plus que ma vie !
- Oh, Sherif, oh ! Et pourquoi ne pas vous asseoir séant bien à votre aise ? - Merci Niquedouille ! - Fermez vos mignons petits yeux ensommeillés, le marchand de sable va passer, pourquoi ne pas relâcher cette ceinture ? Fais dodo Sherif mon petit frère ! - Niquedouille, tu as une jolie voix, chante encore une fois ! - Fais dodo Sherif mon petit frère !