Motus : Ce n’est pas un peu fini non ? À L’attaque ! Obélix : Mais oui à l’attaque ! Obéissez à votre chef, à l’attaque ! Vous ne voulez pas venir alors on y va. Astérix : Obélix, tu n’es pas chez toi ici ! Obélix : Justement, les touristes devant !
- C’est ça le « Rieur Sanglier » ? Eh bien, il n’y a pas de quoi rire ! - Mange ! En Bretagne, il faut faire comme les Bretons !
Obélix : Mon petit chien n’aime pas la pluie, il faudrait faire un Tunnel sous la Manche. Astérix : Ah ça Obélix, c’est une idée à creuser, hé hé hé, à creuser hé hé hé ! Obélix : Bon ! Eh ben moi, je commence à avoir un petit creux énorme ! Jolitorax : Je vous emmène dans une auberge où vous pourrez prendre votre premier breton repas.
Obélix : À l’abordage, Par Toutatis ! On va bien s’amuser Astérix, il y a plein de Romains ! Astérix : Prends un peu de potion magique ! Stratocumulus : Nous sommes perdus ! Ce sont les fous dont je t’ai parlé !
- Pour tout un village, il faut en faire au moins un tonneau, j’ai besoin de beaucoup de choses. - Je vais t’aider. - Alors Obélix tu vas chercher du miel, de l’hydrosème et des carottes. - Oh oui, oh oui, oh oui ! - Quant à moi, je vais m’occuper du gui ! Eh, Obélix ! - Hein ? - C’est ça mes carottes ? - Bah, je suis tombé sur deux sangliers, j’avais un petit creux.
Astérix : Mais qu’est-ce qui se passe ? Jolitorax : C’est le brouillard, on approche de chez moi ! Astérix : Alors rejoignons notre barque ! Obélix : Astérix, si on gardait la galère pour rapporter notre tonneau de potion magique au village breton ? Astérix : Chut, ne parle si fort, ils vont nous entendre ! Obélix : D’accord ! Astérix : Et puis notre barque est plus discrète ! Obélix : Il n’y a plus de Romains ? Un légionnaire romain : Si Monsieur, je suis là, ouille ! Obélix : Et Maintenant, il n’y a plus de Romains ? Un légionnaire romain : Non Monsieur ! Obélix : Ah, c’est bien ! Un légionnaire romain : Il n y’a plus de Gaulois ? Astérix : Il y’a souvent du brouillard comme ça en Bretagne ? Jolitorax : Oh non, seulement quand il ne pleut pas.
- Il s’appelle Xvi ? - Ce n’est pas Xvi, ça veut dire 16. - Ils sont fous ces Bretons ! - Mais ce ne sont pas des chiffres Bretons, ce sont des chiffres romains. - Hein ? Alors ils sont fous ces Romains.
Jolitorax : Excusez-moi, je demande votre pardon Messieurs, je suis Breton, mon nom est Jolitorax. Astérix : Jolitorax ! Mon cousin germain ! Jolitorax : Secouons-nous les mains ! Je viens demander votre aide pour lutter contre les Romains. Obélix : Les Romains ! Où sont-ils ? Où sont-ils ? Astérix : Ha, ha, ha, je te présente Obélix mon meilleur ami. Jolitorax : Comment allez-vous ? Secouons-nous les mains ! Ha ! Astérix : Non, Obélix ! Obélix : Bah, c’est ce Germain qui m’a dit ! Astérix : Ce n’est pas un Germain c’est un Breton et il ne parle pas tout à fait comme nous. Jolitorax : Splendide, splendide !
Cétinlapsus : L’heure de la fermeture approche aubergiste, donne-nous de la cervoise en attendant. Hep, vous là-bas ! Qu’est-ce que vous transportez dans ce tonneau ? Obélix : C’est de la potion… Astérix : De la cervoise, de la cervoise tiède ! Cétinlapsus : Ah, je pensais que c’était un petit vin gaulois, je l’aurais confisqué mais de la cervoise tiède, non ! Chateaupétrus : Hm, hm, hm, hm ! Cétinlapsus : Bois la tienne Chateaupétrus ! Chateaupétrus : Ouille ! Cétinlapsus : Hé, hé, elle va refroidir !
- Hein ? Qui est gros ? - Euh ! En Bretagne, nous conduisons sur le bon côté de la route, à gauche ! - Je suis pas gros, c’est compris ? Je suis un peu enveloppé ! Je ne suis pas gros, je ne suis pas gros, mettez-vous bien ça dans la tête : je ne suis pas gros.
Baba : Gau, Gau-Gau, Gau, Gau-Gau, les Gau-Gau… Barbe Rouge : Les Gaulois ! Obélix : Dis Astérix, qu’est-ce qu’ils font les pirates ? Barbe Rouge : Cette fois-ci j’ai gagné, vous n’allez pas couler mon bateau. Obélix : Ils sont fous ces pirates.
Obélix : Ils ont des tonneaux ronds, vive la Bretagne ! Astérix : Obélix, tais-toi, tu vas nous faire remarquer ! Obélix : Tu me parles durement Astérix, tu ne m’aimes plus. Astérix : Oh mais oui, je t’aime, je t’aime mais si tu fais du bruit, tu vas attirer les patrouilles. Obélix : Je t’aime moi, Astérix et si une patrouille essaie de te faire du mal. Eh bien, tu verras. Jolitorax : Oh, une romaine patrouille !
Astérix : Nous devons retrouver nos tonneaux avant que les Romains ne découvrent la potion magique. Le palais est encore loin ? Jolitorax : Non, non, c’est à quelques pieds. Astérix : Quels pieds ? Jolitorax : Les Romains séparent la distance en pas et nous en pieds. Astérix : Des pieds ? Jolitorax : Je dis, il faut six pieds pour faire un pas. Obélix : Ils sont fous ces Bretons.
Obélix : Allez on rentre ! Astérix : Excusez-nous de ne pas rester à votre banquet mais il a faim, à charge de revanche les amis, Obélix j’arrive ! Jolitorax : C’est ce qu’on appelle aussi à la Gauloise !