Personnage - Tony Montana

Enfin voila, c’est que j’ai a vous dire c’est ca, vous me plaisez, dés que je vous ai vu, j’ai eu le coup de coeur, j’ai dis c’est une tigresse, elle appartient à moi. Enfin bref, je veux que vous soyez ma femme, et c’est à vous la mère à mes enfants.

Je ne suis pas une pute qui vole, je suis M. Montana Tony prisonnier politique renvoyé par cuba et j’exige mon putain d’asile politique maintenant.

Un ordre ? Tu me donnes un ordre à moi ? La seule chose dans ce monde qui me donnes des ordres c’est le manche, tu as le manche ? Le manche c’est les couilles !

Il est comme toi tu es, il était Yankee.

You wanna waste my time? Okay. I call my lawyer. He’s the best lawyer in Miami. He’s such a good lawyer, that by tomorrow morning, you gonna be working in Alaska. So dress warm.

Okay combien je lâche ?

All I have in this world is my balls and my word. And I don’t break them for no one.

Every dog has its day.

J’alerte mon avocat, c’est le meilleur à Miami, c’est l’as des avocats. Je te préviens que demain matin, toi tu vas bosser en Alaska.

Je ne suis pas une pute, je suis Tony Montana !

Le monde chico, et tout ce qu’il y a dedans.

Tu veux jouer, OK.

Si j’ai la femme qu’il me faut, rien ne peux m’abattre, j’irai tout droit jusqu’en haut.

Sale pute protestante ! Me parler à moi comme à un maricón qui descend du bateau !

- Me I want what’s coming to me.
- And what’s coming to you, Tony?
- The world, chico, and everything in it.

Je préfère voir tes fesses que ta gueule…

- Merde, non me tue pas je t’en supplie…
- Je ne vais pas te tuer.
- Oh Dieu merci…
- Debout, dis pas merci.
- Merci Tony…
- Mano, bute moi cette merde !

Dites bonjour à mon petit ami.

- Tu sais se que c’est le capitalisme ? C’est enculer les gens.
- Écoutez-le, notre grand capitaliste.
- Qu’est-ce que t’en sais, papillon de nuit ? Tu sais rien, tu passes ton temps à te faire coiffer et te poudrer le nez, fais attention t’y vas trop fort sur la coke tu sais ?
- Il n’y a d’excès que dans l’excès, tu devrais le savoir Tony.

TU VEUX LA VIE DE RÊVE ?